1. Belle-fille voilée et son beau-père. (3)


    Datte: 15/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... rapidement, quand j’ai ouvert la porte, c’était la tante de mon mari. Je lui souhaitai la bienvenue, elle passa directement vers le salon où se trouvait son frère. Je les laissai discuter tous les deux et moi, j’ai préparé le café. Quelque instant après, mon mari fit son apparition, on a passé toute la soirée à discuter. Elle nous a annoncé qu’elle restera quelques jours, tout était foutu pour moi. Presque une semaine, on a rien fait, mon mari, c’était sa semaine où il travaillait la journée. La nuit, on les laisse discuter de bon vieux temps. Quand elle est partie, mon mari travaillait l’après-midi, je me rappelle très bien. Quand sa sœur a dépassé le seuil de la porte, il a fermé, rapidement, la porte, il est venu directement à moi, il m’a embrassée, il m’a dit : « Dieu merci, nous sommes enfin seuls », sans perdre de temps, il a glissé sur moi. J’ai senti son sexe tendu frotter sur mon ventre et puis glisser plus bas entre mes cuisses et, enfin, remonter. Mon beau-père pesait sur moi, le souffle haletant. Moi, fascinée et subjuguée par ce qui arrivait, je ne disais rien sous lui, je le regardais, admirative, de sa masculinité. J’ai senti mes lèvres intimes s’ouvrir pour cet après-midi-là et puis mon vagin, bien trempé, s’écarta et mon beau-père, d’un coup de reins, magnifiquement délicieux, s’est propulsé en moi. J’ai poussé un « ah » étouffé et nous sommes restés ainsi un long moment qui n’appartenait rien qu’à nous. Puis j’ai senti le membre de mon beau-père qui ...
    ... commençait à labourer mon vagin. J’ai gémi et mon beau-père avait un grand sexe, pas comme celui de mon mari, en grosseur, comme en longueur et je le sentais qui tapait au fond de mon ventre, contre mon utérus. Il allait et venait d’un mouvement régulier délicieusement rythmé. Je fermai les yeux pour mieux me consacrer à cette sensation si particulière et qui avait le don de m’envoyer, à chaque fois, vers des paradis interdits. Mon beau-père me besognait et je crois que cela a duré, duré, le temps a perdu sa notion première pendant que je plongeais dans les délices d’une baise interdite. Son accélération m’a fait rouvrir les yeux, mon beau-père était au-dessus de moi, il me regardait de façon si intense que j’en étais hypnotisée. J’ai plongé mon regard dans ses yeux sombres, nous étions un, nos corps si imbriqués et si complices qu’il suffisait de se laisser aller. C’est-ce que j’ai fait. J’ai senti soudain que mon beau-père se crispait sur moi, j’ai senti sa bite palpiter, puis tressaillir et puis, juste après, des spasmes à n’en plus finir, des coups de reins qui faisaient de moi une poupée de chiffon entre les bras puissants qui m’enserraient si fortement. J’ai crié, je crois et mon beau-père m’a mis la main sur la bouche pour étouffer mes cris. Dans un dernier coup de reins, mon beau-père s’est fiché en moi comme un pieu en terre. Je sentais ses jets de sperme envahir mon ventre. Je ne peux pas dire combien de temps nous sommes restés ainsi enlacés l’un à l’autre. Nous étions si ...
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