1. Une généreuse maman (1)


    Datte: 28/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... le lit. Elle était dans sa chambre, en train de s’affairer. Je suis entré, alors qu’elle bordait le côté droit. Elle m’a demandé de m’occuper de l’autre, ce qui m’a obligé à me placer en face d’elle. Elle portait une chemise d’intérieur qui lui descendait à mi cuisses, avec les trois boutons du haut ouverts, et, alors qu’elle se penchait pour enfiler les couvertures sous le matelas, j’ai eu une vue plongeante sur son décolleté qui baillait largement. Ainsi, j’ai pu admirer, en toute impunité, sa gorge blanche, ainsi que le sillon profond formé par ses seins comprimés. C’était la première fois que je voyais sa poitrine d’aussi près, que j’avais l’occasion de me repaître de sa chair abondante. C’était aussi la première fois que je la regardais en éprouvant le genre de désir qu’un fils n’est pas supposé ressentir pour sa mère. Ce qui devait arriver arriva : j’ai commencé à bander et j’ai réalisé aussitôt qu’elle allait s’en apercevoir. J’étais en pantalon de pyjama, ma grosse érection était visible. Maman ne tarderait pas à la découvrir. Quand elle a levé ses yeux vers moi, elle s’est retrouvée en face de ma queue qui semblait vouloir se frayer un passage, déborder, comme un animal autonome qui ne m’obéirait plus. Elle est restée figée, les yeux rivés sur mon sexe, et puis elle a eu une réaction à laquelle je ne m’attendais pas du tout : elle a éclaté de rire. J’étais cramoisi, j’avais envie de disparaître sous le tapis. Elle m’a demandé, sur un ton de reproche, si c’était elle ...
    ... qui me faisait cet effet, si je n’avais pas honte d’avoir en moi toute cette sève qui débordait à son contact. « Je suis ta maman, Victor, qu’est-ce qui te prend ? » Elle avait raison, j’étais honteux. Honteux et humilié. Je ne savais pas quoi faire. Quand j’ai enfin levé les yeux vers elle, j’ai été surpris de découvrir de la tendresse, et même de la compassion dans ses yeux. Un voile d’amertume aussi peut-être. Le regard qu’elle posait sur moi était bien trop maternel vu la situation. Elle n’avait pas l’air en colère. Elle semblait même émue par ce qu’elle venait de provoquer, malgré elle. Elle s’est assise sur son lit et m’a tendu les bras, dans une invitation tacite à la rejoindre. pspuuwk Je suis venu me blottir contre elle, et elle m’a serré fort contre son corps. Je sentais sa poitrine qui palpitait, ses gros nichons sur mon torse. J’étais bien, rassuré, je bandais dur. Nous sommes restés enlacés un long moment, sans bouger. Elle me caressait la nuque de bas en haut, me démêlait les cheveux, faisait crisser ses ongles sur ma peau. Je la tenais par les épaules, le visage enfoui dans son cou. Je respirais son odeur, ses cheveux, c’était délicieux. Et puis elle s’est déplacée, très lentement, en conservant notre étreinte fusionnelle, pour venir sur moi. Elle s’est plusieurs fois déhanchée, s’est assise sur mes genoux, et, alors qu’elle cherchait la meilleure position, sa chemise est remontée sur ses cuisses. Elle s’est installée, n’a plus bougé, m’a serré très fort entre ...