Pauvre petit chat malade - Histoires de Sexe

Pauvre petit chat malade

... le message. Je n’ose pas croiser son regard pour jauger mon effet… Allez, je tourne doucement les yeux… Il m’attendait, il fulmine… Pour l’instant tout se passe comme prévu. À mon tour de l’humilier HAHAHAHAA! — Bon, à votre tour, je vous propose un tour de table… vas-y Julien, commence ! Son regard noir s’adoucit : — Moi je suis plutôt content de la manière dont tout ça se passe, je m’entends bien avec les animateurs, et je trouve qu’on travaille bien ensemble. Et puis c’est agréable de savoir qu’en cas de nécessité, Claire n’hésite pas à donner de son corps pour que tout se passe bien. Et il fallait qu’il rajoute un clin d’œil ! Bon allez c’est de bonne guerre, et puis au moins, les autres ne vont pas mal l’interpréter. Sophie à dit qu’elle n’allait quand même pas porter des culottes en coton, Valérie a remis ses lunettes pendant que Matthieu bafouillait une connerie comme quoi il s’était découvert depuis qu’il était là, bref, il a parlé de lui, comme d’hab. Très intéressant comme bilan ! — Sur ce, je vous souhaite une bonne nuit pour ceux qui vont se coucher, et pour ceux qui vont en ville, amusez-vous bien. Je pars dans la cuisine me faire un café. J’entends deux voitures partir, je souffle enfin. Bon, je m’en suis pas si mal sortie, je l’ai déstabilisé, si j’en remets une couche régulièrement jusqu’à épuisement, je devrais être tranquille. — Claire ! Je sursaute. Julien venait de rentrer dans la cuisine. — Tu n’es pas avec les autres ?— Non, j’ai une tête à traîner dans ...

... un pub ? Je suis venu te voir… Je peux savoir ce qui t’a pris de me parler comme ça ce soir ?— T’as pas une petite idée ?— Une petite idée ? Franchement j’te calcule pas ! Tu viens faire ta chatte en chaleur devant moi, et deux heures plus tard tu me descends en public ! Le connard, il retourne la situation. Il faut que je trouve quoi dire, il faut que je reprenne le dessus, il me faut la bonne répartie maintenant ! — Eh, te fous pas de ma gueule, c’est pitoyable. J’ai fait que subir tes gestes malvenus et déplacés, je serais certainement pas venue me frotter à toi, vu à quel point tu me dégoûtes !— Vu comment tes tétons pointaient, t’avais pas l’air si dégoûtée… et puis vu tes miaulements, je ne suis pas dupe…— Nan mais je rêve, tu te crois où, là ?— Et toi ? Pour oser dire que Sophie provoque avec sa tenue, alors que tu ne portes même pas de soutien-gorge et que tu montres ton décolleté à qui veut le voir ! Là, je ne sais plus quoi dire, il a raison, mais c’était pas prévu que je joue au petit chat malade ! Vite une réplique… Vite ! — De toute façon, pour ce qu’il y a à voir ! J’ai dit ça moi ? Mais quelle conne ! J’y crois pas. — … Ça a marché ? J’ai réussi à le faire taire ? Il ouvre la bouche, rougit, la referme puis la rouvre et dit — Moi ce que j’ai vu c’est qu’ils pointaient, et c’est toujours le cas d’ailleurs. Je ne m’en étais même pas rendue compte, mais mes tétons avaient durci, pour je ne sais quelle raison obscure, peut-être qu’ayant entendu qu’on parlait d’eux, ...