1. Faire sans être vu – Nouvelle version


    Datte: 16/02/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... devenus agressifs. Ce n’est pas que je ne voulais jamais coucher : c’est surtout que ce n’était pas lié à mon envie de nudité. — Pas du tout lié ? — Vraiment pas du tout. Si je me rends à un dîner, je peux avoir envie de me dévêtir simplement parce que je me sens bien. — Et côté sexe ? — Avec les années les partenaires sont devenus plus tolérants, y voyant une sorte de jeu sexuel, même platonique. Quant aux amis, ils s’y sont vite habitués… certains se sont même prêtés au jeu avec plaisir. Là où ça n’a pas plu, c’est lors des soirées sexe. Les participants adoraient que la fille garde quelques fringues. Talons, bas, chaînette autour de la taille, couvre-chef, chemisier ou que sais-je encore. Rien que des trucs affreux, rien que du mauvais goût. Tu me diras, je n’avais qu’à pas y aller. À chaque coup je me mettais entièrement nue tout de suite, ce qui faisait grincer des dents. — Et avec l’amant classique ? Ça ne le gêne pas de n’avoir même pas le plaisir de te déshabiller ? — Il peut le faire, il faut juste qu’il le fasse vite. Les déshabillages interminables m’agacent. — Et quand tu te déshabilles plus vite que ton ombre, ça agace les autres. — J’en ai encore eu un exemple, très récemment. Le mois dernier j’étais avec quatre garçons dans un appartement. Comme leur conversation était nulle et leurs bobines pas terribles, je me suis déshabillée, mise à genoux et leur ai dit d’approcher. Je les ai pris en bouche un par un, sans avoir à regarder leurs visages ni à subir leurs ...
    ... paroles. Sexuellement c’était sympa, et après ils étaient si calmes que le reste de la soirée a été plus cool. Par contre ils étaient persuadés que ma nudité suggérait qu’ils pourraient ensuite me sauter, alors que pas du tout. C’est juste que question cul, je suis incapable de faire quoi que ce soit avec l’ombre d’un vêtement. — T’es pas consciente qu’ils auraient pu te violer ? — Pas leur genre. Je sais, celui qui agresse c’est pas écrit sur son visage. Mais ils étaient gentils. D’ailleurs aucun n’a été violent, ils m’ont laissé faire tout ce que je voulais sans chercher à me diriger. — Quand même, à baiser en extérieur ou en groupe tu prends des risques. — En extérieur, oui. C’est le jeu. L’avantage, c’est que pour l’amant c’est tellement insolite qu’il s’y met passionnément, bien plus qu’avec n’importe quelle fille d’un soir. Et je peux alors avoir ma lichette. — Tu fais toute cette mise en scène juste pour qu’on te fasse des cunnilingus ? — En bonne partie, oui. À genoux devant des mecs, c’était juste une petite folie. Mon plat préféré c’est une tête entre mes jambes. Question de biologie. J’ai été… comment dire ? Comme façonnée pour recevoir des langues. Peu de poils, ouverture large et bien visible. Quel que soit l’élément qui y entre je suis super facile à trouver, même dans le noir, même dans les bras d’un fêtard bourré, encore qu’ils ne vous prennent pas toujours dans leurs bras. Tout entre à l’aise tel un couteau dans du beurre. Un doigt, une langue, une pine, un ...