1. Rencontre non tarifée


    Datte: 29/06/2017, Catégories: fh, hplusag, hotel, Oral préservati, pénétratio, fouetfesse, totalsexe,

    Étudiante, je suis en contact avec lui depuis une semaine, haut fonctionnaire il me semble inaccessible. Je n’arrive pas à percer sa défense, il refuse de jouer à mon jeu, et j’essaie maladroitement de jouer au sien… Maladroitement, car je ne suis pas la femme insatiable et la salope brûlante qu’il recherche. Il me demande des photos. Parfois je lui en envoie parfois je refuse. Merde ! Je ne suis pas du genre à me plier à tous ses caprices d’autant que je n’ai pas que ça à foutre… Je cherche un tout, il ne veut que du cul. Il est très clair. Il est très cash. Peu de chances que ça fonctionne donc. Nous nous rencontrons enfin, un hasard presque, avec nos emplois du temps. Plus tard il m’a dit n’être monté à Paris que pour passer deux heures en ma compagnie. La dernière photo de mon cul avait fait de l’effet. Je découvre que j’aime ça, le montrer, savoir l’effet que je fais. À l’approche de la rencontre, nos échanges se font plus « normaux ». Aaah, ce n’est pas un psychopathe. Je pénètre dans l’hôtel, le hall est énorme, je suis perdue. Je me sens mal perchée trop haut sur mes talons, ma jupe est très courte, je n’ai pas mis de soutien-gorge et ma blouse transparente. Mes tétons pointent. Je me sens totalement indécente. Je toise la réceptionniste. J’ai envie de lui crier « Non, je ne suis pas une pute. » Je fonce droit devant, d’un pas qui se veut assuré, mais j’ai les jambes en coton. Un panneau lumineux indique les toilettes, je m’y lave les mains, je ne peux pas ...
    ... m’empêcher de remettre du rouge, un peu de maquillage. Je me trouve excitante, mais tellement différente, tellement… pute. Un SMS pour lui demander sa chambre. Je me scrute, me trouve surfaite, de toute manière j’ai plus vraiment le choix, alors autant y aller. Nouveau message : Je retourne vers l’accueil, trouve les ascenseurs, un homme attend également. Mon estomac se tord. J’ai déjà retiré ma culotte comme il m’a été demandé. Je sais que l’homme le voit, je me sens offerte, à poil. Attentive aux réactions de cet homme qui me fait monter, je m’attends à ce qu’il me plaque contre la paroi de l’ascenseur à chaque seconde. Atmosphère électrique. Nous montons ensemble, mes yeux sont rivés sur mon portable. Quatrième étage… je sors. Mon cerveau est vide, mon bas-ventre chaud, liquide. J’arpente le couloir de mon pas décidé. Une porte claque derrière moi, ce n’est pas lui, je m’arrête. Je stoppe, attentive à tous les bruits. Quelques secondes, seule, submergée d’excitation. Je reviens sur mes pas pour trouver la chambre 467. Toc-toc… Silence puis la porte s’ouvre. — Alors tu restes ? me demande-t-il. Le mec est sûr de lui, j’ai tout de suite envie de l’essayer, de lui monter dessus, je fonds d’un coup. Nous échangeons des phrases insignifiantes, je balance mon sac dans un coin comme si j’étais habituée à me faire sauter dans les hôtels. Il me regarde comme un objet. Sous toutes les coutures. Et puis il m’embrasse doucement. Passe ses mains sur les épaules, dans mon dos et fait glisser ma ...
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