Floryda 2113 AD
Datte: 16/02/2021,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
inconnu,
gros(ses),
fépilée,
Collègues / Travail
Masturbation
rasage,
Oral
légumes,
fsodo,
sf,
... leva avec une grâce féline malgré son surpoids. Elle portait l’uniforme de sommeil réglementaire, constitué d’un slip et d’un T-shirt beige, bien trop petits pour sa corpulence. Assise sur sa couche, Dotty W. se frotta les yeux et s’étira comme une chatte, elle arracha les capteurs adhésifs et débrancha la console de surveillance, avant que les alarmes ne hurlent. Elle se dirigea vers la console de navigation pour y jeter un œil d’expert. Tout semblait en ordre, les voyants, tous au vert, indiquaient le bon déroulement du vaisseau. EC.134 faisait du bon travail, pensa-t-elle. Dotty W. programma son petit déjeuner : une grande tasse de café brûlant avec des céréales compactées aux fruits exotiques, son péché mignon. Tout en buvant le breuvage, Dotty consultait les derniers bulletins d’information relatifs aux évènements survenus au vaisseau. Tout était parfait. Le café fit du bien à Dotty W, une bonne douche allait finir de lui donner du dynamisme avant de se mettre au travail. En passant devant les écrans de contrôle, la silhouette de Dotty se dessina, lui envoyant une image qu’elle avait depuis longtemps oubliée. Dotty W. grimaça. Pas plus d’un mètre soixante-cinq, pour soixante-quinze kilos. Dotty W. passait plutôt inaperçue et peu de regards d’hommes s’attardaient sur elle, à forte raison. Dotty W. se débarrassa de ses sous-vêtements qu’elle fit disparaître dans le conduit d’évacuation menant aux tréfonds du vaisseau où l’équipe des robots domestiques les prendrait en ...
... charge. Dotty W. n’avait rien d’excitant : de gros seins lourds montés sur des hanches généreuses terminées par de petites jambes boudinées. Une fois sous la douche, Dotty rasa les poils de ses aisselles. En vingt-huit mois de voyage, sa pilosité naturelle avait gagné du terrain. Elle ferait son pubis plus tard, cela n’avait pas d’importance. Depuis longtemps, Dotty W. avait tiré une croix sur sa vie sexuelle. Dans un monde où le culte de la beauté faisait foi, elle avait renoncé à passer entre les mains des robots plasticiens, par terreur des bistouris lasers. Aussi, pour compenser son physique disgracieux, elle s’était lancée dans ses études de navigateur en vue de prendre le commandement d’un transporteur minier. Sortie major de sa promotion, Dotty W. entamait son huitième voyage dans l’espace en tant que commandant de bord. Le consortium Kasumoto lui avait confié le commandement du Nomauto, un transporteur minier de 500 000 tonnes. Ce serait son dernier voyage : à son arrivée, elle prendrait sous sa coupe la direction administrative de la planification des transports chez Kasumoto, une belle fin de carrière qui la mettait à la direction de quelques 55 000 salariés navigants. Dotty W. sortit de la douche et enfila sa combinaison de travail, une simple combinaison de lin, thermo-climatisée, mais bien trop petite pour elle. Elle se sentait oppressée de partout, la combinaison la moulait au point de l’étouffer, les nutriments distillés par sonde lors de son sommeil prolongé lui ...