Saint Sylvestre 2006 (1)
Datte: 17/02/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... soutif, ses tétons pointaient à travers le tissu ; sans doute n’avait-elle pas de culotte non plus ? Notre entrée fut accompagnée d’un « Waouh ! » admiratif. Après quelques blagues et tentatives de levers de ma jupe, nous avons levé nos verres et trinqué à cette soirée qui s’annonçait festive. Deux apéros plus tard, les esprits se détendirent, nous avons rigolé, bu, chanté... faux, mangé aussi. Les plats étaient délicieux ; nous avons dansé entre chaque plat. Le fumoir était dehors (à l’époque, je fumais encore) : nous étions tous à l’extérieur. Malgré le fait que nous étions dans le Sud, il faisait un peu frais ; surtout que je n’avais rien sur le cul, là, les filles ! Pour celles qui se promènent en jupe et string l’hiver, chapeau ! L’ambiance était joyeuse et Babeth m’interpella : — Pat ! Tu n’as pas froid avec ta minijupe ? Elle est sympa d’ailleurs, et tu as mis le string au moins ? La connaissant bien, je savais qu’elle allait me tanner avec ça ; donc je pris la décision d’en montrer un peu. Je levai un pan du rabat, découvrant ainsi le côté de ma fesse droite. Les quatre filles se régalaient ; elles se sont mises à chuchoter, quoi ? Je n’avait rien entendu. — Voilà, tu as vu. Contente ? — Waouh ! Tu as tout fait comme il faut ; et le maquillage, chapeau ! — Oui ; là, c’est Vivi qu’il faut féliciter. Le temps passait à la vitesse de l’éclair. Tout le monde était joyeux ; c’était une belle fête. Minuit approchait. Les filles proposèrent de faire une pause avant le ...
... dessert et Babeth mit une série de slows. Ma chérie et moi dansions serrés l’un contre l’autre ; nos baisers était tendres, amoureux, profonds. Elle sentait bon. J’étais bien ; j’en avais presque oublié notre entourage. Je sentis qu’elle caressait mes fesses à travers la jupe, mais je ne remarquai pas qu’elle la levait doucement et discrètement. Je sortis de ma torpeur amoureuse quand la musique de Joe Cocker – You Can Leave Your Hat On – se fit entendre. Je ne mis pas trois secondes à comprendre de quoi serait faite la suite : à tous les coups j’allais devoir faire un strip-tease, et sans doute me retrouver à poil dans moins de cinq minutes ; j’en eus la confirmation instantanément : — Chéri, tu nous fais un strip-tease comme celui que tu m’as fait l’autre jour ? me chuchota ma chérie à l’oreille. — Tu es folle, pas devant les filles... — S’il te plaît, fais-le pour me faire plaisir, et je te promets une belle récompense. — Oui, mais ta copine, elle va venir me chercher. — T’inquiète pas, je gère. Et après si elle veut se faire baiser, promis, je la tiendrai ! me répondit-elle en souriant. Elle me fit un énorme baiser, me lâcha et alla rejoindre les autres filles assises sur les canapés, prêtes à assister au spectacle en scandant « Pat, un strip-tease ! Pat, un strip-tease ! » Un regard vers ma chérie qui arborait un sourire gourmand, et je me dis « Quand faut y aller, faut y aller, mec ! » Je balayai du regard les filles ; Babeth remit la musique au début et je me lançai dans un ...