Découverte du plaisir avec ma mère (4)
Datte: 28/10/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... maman, je suis tendu aussi, tu m’excites un max. — Relève-toi maman, on va aller contre l’arbre là-bas. Nous remontions nos effets et nous allâmes vers l’arbre désigné. Une fois devant l’arbre je demandai à maman de se plier en deux en se tenant à l’arbre. Maman s’exécuta sans dire un mot : j’abaissai à nouveau le pantalon et la culotte de maman. Je me penchai vers ses fesses, je me mis à lécher sa chatte, elle mouillait bien, maman se contracta en gémissant. Elle aima que je la léchasse, puis je pourléchai son anus en mettant ma langue au plus profond possible. Maman remua les fesses en s’appuyant sur mon visage, je savais qu’elle aimerait cela ma chérie à moi. — C’est bon amour, encule-moi mon amour encule-moi j’ai un besoin fou de bite dans mon cul, j’ai envie là — Oui amour je vais te la mettre lui dis-je en massant sa chatte tout humide largement ouverte de plaisir. Je pris ma queue en main, et tapais avec mon bâton sur ces fesses, maman gémissait et tressaillait des fesses — Veux-tu que je te fasse mal maman ? — Non chéri pas aujourd’hui, de la douceur et de la fougue seulement mon bébé. — OK amour je t’aime et je suis bien avec toi là, c’est bon Je faisais glisser mon gland entre ses lèvres intimes, sur le clito, dans la raie culière de mon amour, puis je pénétrais son vagin, ma bite va et vient c’était humide, bien huilé, sa chatte était soyeuse à souhait. Je sortis de son berceau d’amour pour la pénétrer par son étoile anale. Ma bite entra dans l’anus, un peu de ...
... résistance au sphincter, puis ce fut le délice de l’enculage de maman, du velours pour ma queue, j’étais bien dans les entrailles de maman. Mère se contracta, elle remua de son fessier appuya sur mon ventre pour que je puisse aller bien profond en elle, j’étais au paradis des amours. Je m’agrippais à ses hanches. Maman commença à gémir plus lascivement, les sons étaient longs et appuyés. Je sortis ses seins de son haut, les massa et les caressa en tournant délicatement les tétons. — Bébé tu m’écartes bien l’anus avec ta grosse queue, tu me remplis bien amour j’aime cela tu sais ; tu aimes mon trou amour ? — Oh oui ! J’adore maman, j’aime tout de toi, tu sais bien. Nous étions bien tous les deux dans la nature, le bruit du vent dans les branches, sous un beau soleil. Quand sur notre gauche, les branchages du fourré se mirent à bouger et unjeune homme apparu, la bite à la main, se branlant vigoureusement. Nous fûmes surpris, je marquai un temps d’arrêt. Comme le jeune homme resta à distance, les yeux exorbités par la scène à laquelle il assistait, je repris mes va-et-vient dans les fesses de maman. Je sentis lors de l’apparition un mouvement de maman pour se redresser, puis quand elle sentit ma bite s’agiter en elle, maman reprit sa position. Le gars s’approcha lentement, il était à deux mètres, pas plus, peut-être moins. Je regardais la nuque de maman, je voyais son visage qui ne quittait pas la bite branlée du gars. Les contractions anales se faisaient plus rapides et saccadées, ...