"Calme-toi", une séance de cinéma pas comme les autres
Datte: 17/02/2021,
Catégories:
fh,
couple,
cinéma,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
conte,
... contractent d’envie, ma cuisse remonte entre ses jambes sous sa verge en pleine montée érectile. Aussitôt, les pointes de mes seins s’érigent avec une légère douleur (exacerbée par le froid) : celle de l’impatience du désir ! Je lui suggère alors : — Tu es sûr de vouloir voir ce film, ce soir ? On peut rentrer à la maison et se mettre un bon DVD, au chaud devant la cheminée… On n’a pas étrenné le nouveau tapis, d’ailleurs.— Non, non, non, pas question ! On sera bien au chaud dans quelques minutes. Calme-toi ! Il me repousse gentiment. La file avance et l’on pénètre à l’intérieur du cinéma, puis dans la salle déjà à demi remplie. Patrick m’entraîne vers le fond, sur un côté plus déserté, plus intime. Il s’installe en travers de la petite rangée de fauteuils, adossé au mur, sa jambe droite étendue sur les sièges. Me tendant la main, il m’attire fermement pour me caler dos à lui, assise entre ses jambes, mes fesses tout contre son sexe. J’ai juste le temps de lire la malice que dégagent ses yeux. — Hum, je te sens d’humeur malicieuse. Je me trompe ? Qu’est-ce qu’il y a dans cette jolie tête ? En guise de réponse, il m’étreint et dépose de sensuels baisers sur ma nuque. Les lumières de la salle s’éteignent doucement et je sens déjà sa main gauche caresser mon bras, mon épaule et mon sein dont le téton se durcit. — C’est bien « Calme-toi », le titre du film ; non ? Et ça ne t’inspire pas ?— Au contraire, chuchote-t-il suavement à mon oreille. Je veux voir jusqu’où tu résisteras ; ...
... jusqu’où, toi, tu resteras calme ! Tout en prononçant ces paroles, il laisse sa main droite descendre plus bas sur mon ventre, caresse ma cuisse et remonte vers mon antre intime et chaud, nu sous ma petite jupe droite. — Tu as vraiment oublié ta petite culotte? Et c’est quoi, ça ? Intrigué, il tire sur la petite cordelette entre le haut de mes cuisses. — Les boules de geisha… Je ne le crois pas ! Discrètement, je les range dans leur pochette au fond de mon sac. Je tourne ma tête vers Pat et ma bouche gourmande mouille ses lèvres entrouvertes qui n’y résistent pas. Fougueusement, ses bras me soulèvent, me retournent. Je lui fais face. Il prend ma tête entre ses mains, couvre mon visage et mon cou tendu de ses baisers torrides. Sa langue s’excite, fouille ma bouche qui lui répond avec ardeur. Oubliant tout autour de moi, le cinéma, les spectateurs, j’ouvre la fermeture de son pantalon et libère son sexe déjà raide de désir. Je le chatouille et le caresse de mes doigts fiévreux, sentant monter sa sève qui déjà laisse pointer une petite goutte. Je la lèche et ma main se referme sur sa bite rougie, chaude, douce, qui appelle ma bouche. — On nous regarde ; tu veux continuer ? me dit enfin mon homme de feu, mi-amusé, mi-excité, sûrement parce qu’il sait que je n’ai jamais franchi la porte de l’exhibitionnisme. En même temps, il sait qu’aujourd’hui, dans ce contexte, j’y suis prête. Mais il me respecte et l’on doit en avoir envie tous les deux. Là, tout de suite, je sens bien qu’il ...