Deuxième partie
Datte: 19/02/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
inconnu,
Collègues / Travail
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
fdanus,
fsodo,
__________________________________ Mais avant de mettre fin au suspense, laissez-moi vous conter la suite pour le moins inattendue de cette histoire qui aurait pu – aurait dû – s’arrêter là si le destin n’avait décidé de se jouer de nous. Par le plus grand des hasards, il se trouve que Laetitia (ce n’est toujours pas son vrai prénom) est une fervente lectrice de Rêvebébé! Et, parmi la multitude de nouvelles présentées sur ce site, il a fallu qu’elle tombe sur la mienne. Bien entendu, le changement des prénoms n’a pas été suffisant pour l’empêcher de trouver de nombreuses similitudes avec nos dernières rencontres… Elle aurait pu choisir de ne jamais me le dire ou me reprocher cette mise en scène de notre « histoire » somme toute bien innocente, peut-être même contacter mon épouse et lui faire découvrir mon jardin secret. Elle n’en fit rien et préféra me tendre un piège et me faire découvrir, de fort belle manière je dois l’avouer, qu’elle était bien la coquine que son « etc. » pouvait laisser présager et qu’en matière d’imagination, elle n’avait rien à m’envier… Trois semaines après la parution de mon texte sur le site et les commentaires dont je vous remercie du fond du cœur, Laetitia m’envoya un mail. Le ton était très différent du message posté le soir qui avait suivi le salon. Très professionnel. Formel. Presque distant. Même si les quatre jours restants avant la date annoncée ne laissaient que peu de temps pour la préparation et la publicité de « l’évènement », ...
... j’acceptai avec joie et lui retournai ma réponse affirmative par mail en tentant de garder la distance qu’elle avait instaurée. Je passe ici sur les divers mails qui ont suivi et qui n’ont aucun intérêt pour qui n’est ni le libraire, ni l’auteur, pour en venir à la conclusion de cet échange : un rendez-vous préparatoire le lendemain, mercredi, après la fermeture de la librairie. Sans imaginer le moins du monde que Laetitia pouvait avoir lu mon texte et donc savoir le désir que son petit cul m’inspirait, je laissais libre cours à mes pensées et espérais que, peut-être, entre deux commandes de bouquins sa main glisse malencontreusement sur mon jean ou que sa robe fleurie largement décolletée me permette de plonger les yeux entre ses seins. Autant dire que la nuit précédant le rendez-vous fut agitée, et que c’est fébrile et un poil excité qu’à l’heure convenue je frappai à la porte de service qu’elle m’avait indiquée ; me proposer d’emprunter l’entrée de service aurait dû me mettre la puce à l’oreille… Aussi est-il facile d’imaginer ma surprise quand ce ne fut pas Laetitia qui vint m’ouvrir la porte, mais son adjointe Mélanie. Aussi brune que sa patronne est blonde, aussi plantureuse que Laetitia est svelte, Mélanie était tout aussi jolie mais dans un style très différent. Chez elle, pas de robes à fleurs ou de décolleté plongeant. Jamais je ne l’avais vue habillée autrement qu’en noir des pieds à la tête. Gothique jusqu’au bout des ongles. Percée, je l’imaginais, jusqu’au bout de ses ...