Je ne voulais pas tromper ma femme avec ma voisine (5)
Datte: 28/10/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... quoi. Encore un tour ou vous voulez aussi faire la compétition inverse ? Mais puisque Hector participe, Martine, il faudra bien que tu le suces et que Hector le devine. – Là, je sens que je vais perdre, vu que je manque de pratique, répond Hector. Enfin, je n’aurai qu’une chance sur deux de me tromper. À ce moment-là, on lui met le bandeau sur les yeux et malicieusement Jean lui prend le sexe et commence à lui faire une fellation où il est près de partir et c’est moins une qu’il explose dans la gorge de Jean quand il arrête sa sucion. – C’est difficile, mais c’était tellement bon que je pense que c’est maman qui est à l’origine de la chose. – Faux, c’était Jean, on t’a bien eu. – Alors là, c’est vraiment un as, je n’ai jamais eu de ma courte expérience une pipe aussi bonne, j’ai failli partir. – Tu n’aurais pas dû te retenir, j’aurais bien aimé goûter le jus de tes pruneaux, mais c’est vrai que cela aurait peut-être faussé la compétition. Tu veux retenter pour voir si tu as plus de chance cette fois. – Oui, je veux bien. Du coup, c’est Jane qui est chargée de continuer la fellation et elle le fait très lentement pour pas qu’il perde au fond du son cou, ce qui est destiné à ses entrailles. – C’est pas la même personne, mais je ne sais pas, mais vu que c’est très lent, je pense que c’est maman qui n’a pas envie de recevoir mon sperme dans le cou. – Encore trompé, c’était Jane. Je pense que vu les gages, il est temps qu’ils apprennent à se connaître et sans le masque, qu’ils ...
... se fassent un bon soixante-neuf. Vous êtes d’accord. – Pour moi, j’adorerai dit Hector, j’ai bien aimé son goût de reviens-y, donc j’y reviens. – Tant qu’à faire, pourquoi pas, cela sera une expérience intéressante, je vais essayer d’oublier que je suis sa mère et ne voir qu’un jeune étalon avec qui on va se faire du bien. Pendant ce temps-là, vous les aînés, vous allez vous occuper à deux de Jane, je suis sûr qu’elle sera enchantée d’avoir deux amoureux pour s’occuper d’elle. C’est ainsi que Martine embouche avec amour la pine de son fils et le pompe avec avidité alors qu’Hector investit de sa langue le sexe de sa mère. Émue à la pense que c’est son fils qui la lèche, elle sent monter l’orgasme dévastateur, encore plus violent qu’avec Jean, elle se cramponne à la tige qui lui envahit la bouche, elle sent que lui n’est pas loin non plus et que la porte de non-retour n’est pas seulement à Goré, mais dans sa bouche et les premières gouttes d’une crème onctueuse viennent frapper sa glotte. Elle ne veut pas que son fils soit déçu et elle avale tout ce qui est éjecté sans récrimination, elle-même sent qu’elle jouit aussi fortement et doit aussi gicler abondamment dans la bouche de son fils. Épuisés, les deux relâchent l’objet de leurs plaisirs et se regardent dans les yeux. – Mon fils, j’ai eu un orgasme très fort, tes léchages étaient parfaits et j’ai bien aimé le dessert que tu m’as donné. – Maman, tout comme moi, j’ai adoré te manger ta rose et ton pistil, je suis partant pour ...