1. Marine et les mécaniciens (1)


    Datte: 20/02/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, uniforme, poilu(e)s, Collègues / Travail Oral pénétratio, bourge,

    ... elle ne tarde pas à refermer les yeux pour gémir faiblement et porter son bassin au-devant de la caresse. ===o0o=== Le doigt reste immergé pendant un long moment dans le fourreau dont les parois dégagent de manière continue le liquide sirupeux et Marine, tout en serrant le plus possible ses bras autour de la nuque du mécanicien, a ainsi tout loisir de goûter plusieurs fois de suite au plaisir tant souhaité. Ensuite, Berthier extirpe doucement son majeur de sa prison dorée et se libère de l’étreinte passionnée en saisissant les hanches de sa partenaire. L’adjudant baisse ensuite la fermeture éclair de sa combinaison jusqu’au bas de sa taille, dégageant ainsi ses épaules, son torse et son ventre. Marine, de manière instinctive, baisse la tête et voit la déformation que subit le slip de Berthier. Le sous-officier saisit les bords du sous-vêtement qu’il baisse suffisamment pour libérer son sexe. Ce dernier, fin et long, s’érige et le gland, décalotté, rouge comme une cerise et en forme d’obus, se dresse et se gonfle un peu plus pour présenter son regard borgne. Les deux glandes, recouvertes de leur enveloppe de protection tapissée d’une pilosité noire et drue, sont déjà positionnée de part et d’autres de la base de la verge. Marine contemple cet objet qui se présente à elle comme une offrande. Du bout de ses doigts tremblants, elle effleure d’une caresse timide le gland brillant. Berthier grogne et ne peut réprimer un mouvement de son bassin. L’épouse dirige alors sa caresse ...
    ... vers les deux testicules qu’elle saisit dans le creux de sa main droite pour les soupeser et les serrer doucement. — Hé, vous, mais… Oh ! La phrase du mécanicien se termine par une plainte sourde. Les cuisses de Berthier se mettent à trembloter sous l’effet des attouchements. Marine plie les genoux et s’accroupit ; son visage se trouve ainsi à quelques centimètre de la tête d’ogive terminant le bâton de chair. La paume de sa main gauche s’emparant de nouveau des deux glandes, l’épouse saisit la queue à sa base avec les doigts de son autre main et, arrondissant les lèvres de sa bouche, engloutit en fermant les yeux le tube dur comme de l’acier. Les cuisses de l’adjudant tremblent encore un peu plus alors qu’un long soupir sort de sa gorge et que ses deux mains se posent sur le crâne de Marine pour le caresser. La caresse buccale est délicate et pleine de tendresse. Au bout d’un long moment et alors que la queue se dresse un peu plus dans la bouche qui épouse parfaitement l’arrondi du sexe, Marine dégage le cylindre vivant, se relève, libère une de ses jambes de l’entrave provoquée par son slip pour prendre Berthier par le bras et le diriger vers le banc. — Assieds-toi, souffle-t-elle d’une petite voix presque étouffée. Berthier comprend ce que Marine lui demande et s’exécute. Ensuite, l’épouse de colonel se met en face à son partenaire, les jambes écartées, et se rapproche pour poser ses mains sur les épaules du mécanicien qui la regarde tout en saisissant les hanches pleines de ...