Marine et les mécaniciens (1)
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
uniforme,
poilu(e)s,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
bourge,
... cette silhouette qui capte toute son attention. Sans pouvoir maîtriser son émotion, la mère de famille sent son cœur battre un peu plus vite alors qu’un semblant de crampe se vrille au milieu de ses entrailles. Au bout d’un moment, l’homme tourne les talons et les pensées de Marine sont interrompues par son mari qui se dirige vers la voiture. Une fois dans l’habitacle et la portière fermée, il demande au conducteur de prendre la direction de la maison que sa famille et lui-même habitent. Marine et son mari n’échangent aucune parole pendant le trajet. L’image de cet homme qu’elle n’avait jamais vu auparavant reste un moment gravée dans son esprit. Une fois chez elle, Marine, pensive, effectue quelques rangements avant de préparer le repas du soir, qui démarre en silence. — J’allais oublier de te demander si tu pouvais t’occuper de ma voiture demain, tu sais cette légère fuite d’huile dont je t’ai déjà parlé, dit enfin Marine.— Je n’ai pas le temps, tu le sais bien. Je suis à Paris toute la journée pour une réunion. Je ne rentrerai que vers 20 heures… Bon, je vais prévenir le chef de l’atelier, l’adjudant Berthier, celui avec qui je parlais tout à l’heure. Ils sont trois à l’atelier, et loin d’être débordés. Il pourra détecter la fuite et la stopper momentanément. Va le voir à 17 heures. Mais il faudra emmener ensuite la voiture au garage habituel, en ville. Marine sent brusquement son cœur se pincer et une contraction, légère mais rapide, prendre possession de son estomac. — ...
... Bon, d’accord, admet la mère de famille encore surprise de l’effet produit par les dernières paroles de son mari. Elle pense à l’homme qu’elle a regardé quelques heures plus tôt et qui resurgit dans son esprit. L’épouse se couche avant son mari et s’endort rapidement. Couchée sur le dos, c’est le contact d’une main brûlante se glissant sous sa chemise de nuit qui la réveille plus tard. La paume caresse les cuisses rondes à la peau douce et chaude et remonte pour se mouler à la fourche renfermant le puits intime de Marine. Les doigts nerveux obligent la femme à ouvrir ses cuisses pour ensuite commencer à fouiller la toison abondante, épaisse et aussi noire que sa chevelure. Ses chairs intimes font l’objet d’un inventaire aussi méthodique que délicat. Lorsqu’une phalange s’introduit progressivement dans son conduit pour entamer un mouvement de va-et-vient régulier, Marine étouffe une plainte sous le délicieux effet qu’elle provoque. Elle tend son bassin qui commence à effectuer des mouvements indiquant le degré d’incandescence dans lequel se trouve maintenant son ventre. L’inspection dure de longues minutes avant que Paul s’allonge sur sa femme qui écarte ses jambes du mieux qu’elle peut. Elle crispe les mâchoires en fermant les yeux lorsque le gland impatient se présente à la porte de son anatomie la plus intime. Sa gorge se serre et elle entend la respiration saccadée de son mari au-dessus d’elle. Soufflant de plus en plus fort sous l’effet de l’excitation, celui-ci se dresse ...