Un soir de folie
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
fhhh,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
double,
fdanus,
fsodo,
Partouze / Groupe
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
init,
... accompagner la caresse tandis qu’il lui place les pieds sur le tableau de bord. Il glisse sa main libre dans son dos afin de libérer ses poignets. Elle saisit son membre qu’elle sait déjà sorti de sa cache, fait coulisser ses doigts sur la peau douce qu’elle aime tant sucer. Malgré le plaisir montant, elle l’entend actionner la vitre passager. Une main chaude se pose sur son sein ; d’abord elle se raidit, puis gonfle sa poitrine pour tendre son buste et offrir ses seins à cet inconnu. Heureux de cette bénédiction, l’homme lui prend sa main libre pour la poser sur sa queue dressée ; elle s’en empare vigoureusement et synchronise ses mouvements sur les deux membres. Un premier orgasme la soulève de son siège. Il la maintient ouverte et effleure son ventre avec les lanières de cuir qu’elle connaît bien ; un frisson traverse son corps et elle ne retient pas ses mots : — Oui, frappe-moi, je suis ta chienne ! D’autres hommes s’approchent doucement, alors il tire sur la laisse et guide sa bouche vers le membre offert. Elle tend ses lèvre et engloutit la queue épaisse et longue ; elle ne peut s’empêcher de fantasmer, un noir peut-être. Le temps ne compte plus, il s’est arrêté, comme pour préserver cet instant où tout est permis. Il sort de la voiture et en fait le tour, leur fait signe de faire place. Ils obéissent, trop heureux que le spectacle puisse continuer. Il ouvre la portière et saisit la laisse qu’il tire pour l’obliger à sortir. Debout dans le noir et déséquilibrée, elle ...
... ne retient pas sa robe qui tombe à ses pieds. Ils commentent, murmurent des mots crus et grossiers, orduriers dans un français approximatif et teinté d’accents qui ne laissent aucun doute sur leurs origines, africains, slaves, maghrébins. Ils tendent les mains, touchent et fouillent cette femme nue, offerte sur le trottoir. Il se plaque contre son dos, embrasse son cou, sa queue glisse entre ses fesses, peut-être va-t-il la prendre. Il pelote ses seins tendus, puis appuie sur ses épaules pour qu’elle s’agenouille, sans doute veut-il qu’elle le suce. Mais il appuie encore, elle est a quatre pattes entre ces hommes ; il tire la laisse afin qu’elle avance et lui ordonne de dire ce qu’elle est : — Je suis ta chienne soumise ! Un coup s’abat sur sa croupe et la surprend, d’autres s’en suivent. Les lanières de cuir pénètrent le sillon de ses fesses, fouettent ses lèvres intimes, atteignent son bouton sensible. Elle se surprend à ouvrir ses jambes, puis s’écrie : — Fais-moi gueuler, baise-moi ! Il la saisit par les cheveux et lui fait relever la tête. Une queue pénètre sa bouche, une autre entre dans son ventre détrempé, des doigts fouillent son fondement. On la relève un peu et deux queues se retrouvent dans ses mains. Elle adore ça ! Elle en veut plus et se déchaîne, va au-devant des assauts. On enjambe son corps tandis qu’un autre remplace celui qui quitte déjà son ventre. Une poussée force son anus à s’ouvrir, le gland puis toute la queue la pénètre ; elle sent les deux membres, ...