1. Passation de pouvoir


    Datte: 28/10/2017, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature,

    ... pour vous inspirer ou vous faire chasser du jardin du paradis. Il ne fallait pas aller trop loin.J'avais fait des envieux. Ceux-ci étaient renseignés. La belle avait une réputation fort établie de se lasser d'un champion et de vouloir le remplacer par un autre. Mon règne dura un an. On me rassura que ce délai avait été remarquable. Que d'autres avaient eu bien moins. Bref que je ne devais me plaindre. Mon temps était venu. On doit choir nécessairement d'un piédestal. Il fallait attendre d'où le coup viendrait.Il vint d'une sorte d'ami. Curieusement il avait favorisé au début que je pus conquérir la belle en en déquillant un autre. La belle sut par la suite le rôle qu'il avait joué dans mon avancement. Elle ne me cacha pas son hostilité à son égard. Tout simplement, elle ne pouvait le sentir. C'était physique. Je n'avais de cesse pourtant de le défendre invoquant pour cet ami sa loyauté et son intelligence. En gros c'était un type brillant qui irait loin. J'étais loin de deviner que mes paroles porteraient un jour et que cet ami put devenir mon plus cher rival. On est trahi que par les siens.Il y eût du temps pour qu'on me dessillât les yeux. Je subodorais depuis que l'ardeur de la belle se rafraîchissait pour moi. Je percevais qu'un autre peu à peu entrait dans la place. Ma fébrilité était tout occupé à démasquer dans l'ombre le présomptueux, Je ne rencontrais que sourires goguenards. Eux savaient. Moi pas. Le cocu est toujours le dernier informé. J’avais scrupule à ...
    ... questionner la belle. Son regard était dur et sévère. Elle eût pris ce prétexte pour me dire la vérité et me signifier mon congé. J’abhorrais cet instant de ma déchéance. « Bourreau pitié ! Encore une minute ! »Le coup fatal vint d’une autre connaissance. C'était un de ces fâcheux jaloux qui me voyant un jour si malheureux, crut bon me de dévoiler le pot aux roses. Il présentât la chose en telle sorte qu'il voulait m'éclairer et me secourir. Je compris plutôt qu'il voulait être aux premières loges de ma défaite et de mon humiliation. Il se proposa de me conduire dans un lieu que je connaissais trop bien. C'était près d'un petit étang. J'y avais souvent forniqué avec la belle ou autre. La belle en l'occurrence aimait ce coin saturé de voyeurs où ceux-ci pouvaient goûter de loin ses fesses.En effet elle n'avait cure que dedans la voiture ou hors on la prit en cet endroit. Elle me disait doctement qu'elle adorait faire cela en pleine nature. Il y avait dedans comme un hommage au dieu du ciel et du soleil. Je me riais de cette métaphysique de pacotille l'enculant volontiers, galvanisé par des gémissements feints ou pas et flatté qu'autour quelque gus découvrit les talent et ravage de mon fameux coup de rein. Quelques rares fois quelques-uns voulaient s'associer que je repoussais. Ce coin de bonheur était empli de ces souvenirs. Ce fut drôle que d'y être ramené ce jour-là.Garant rapidement l'auto nous nous frayâmes un chemin parmi les fourrés en direction de l'étang. Bientôt se profila un ...