L'héritier de Protée (9)
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
Hétéro
... grande terrasse aussi nues l’une que l’autre sans que personne n’y prête attention. Au contraire, les seuls commentaires auxquels nous avons droit sont des félicitations pour ce «magnifique combat». Et nous trouvons notre victime, Alex, en grande discussion avec Daniel le barman. Il nous regarde avec perplexité, tellement nos sourires à son égard promettent qu’il va passer un sale quart d’heure. — Toi ! Viens avec nous ! lance Antinea d’un ton sans réplique. Il se lève en soupirant pendant que le barman se marre. Il a dû déjà voir ce genre de scène. On lui prend chacun une main et nous l’entraînons dans l’appartement d’Antinea. — Et maintenant, à nous trois ! lance-t-elle. — Tu m’as menti hier soir. — Et ce faisant, tu m’as fait du tort par ton mensonge ! — Alors tu vas payer, mon coco. — Et défense de faire appel à Protée pour te remettre sur pied, ou je te change en crapaud. — En crapaud ? T’es sérieuse ? lui dis-je à voix basse. Pauvre Alex ! Nous le jetons sur le lit et nous sautons sur lui comme des furies. Nous avons décidé de le faire jouir sans relâche jusqu’à ce qu’il demande grâce ! Il recharge en cinq minutes bien sûr, mais il ne pourra pas se laisser martyriser sans que sa queue devienne douloureuse ; et pour ça, tous les coups sont bons ! Nous empoignons sa queue et nous le branlons furieusement sans arrêt, indifférentes à ses jouissances qui se succèdent. Nous le fessons jusqu’à ce que ses jolies petites fesses virent au rouge vif. On lui pince les tétons, on ...
... les lui tord, on plante nos ongles dans sa peau en y laissant quelques traces… Quand il tarde à jouir, on prend un malin plaisir à rajouter nos bouches. Mais on y met nos dents, on mord sa queue, on la branle dents serrées. On gobe ses boules et on resserre les dents en un simulacre de castration, ne relâchant notre pression que quand Alex se raidit d’un début de douleur. Ou alors on lui enfonce deux ou trois doigts entre les fesses. Mais on ne peut s’empêcher nous aussi de prendre un peu de plaisir ! Alors on s’empale sur sa belle queue, côté chatte, côté cul, toujours à un rythme d’enfer. On écrase nos chattes sur sa bouche jusqu’à suffocation, le forçant à nous lécher toujours plus vite et toujours plus fort. Malgré mes bonnes résolutions, j’ai été prise par surprise par deux ou trois jouissances. Pareil pour Antinea. Faut dire qu’on s’est laissé emporter à se caresser un peu, aussi. Mais Alex n’en peut plus ! Il capitule… — A… arrêtez, pitié, j’ai la bite en feu. Je ferai ce que vous voudrez, mais par pitié arrêtez ça. Nous cessons la torture. On est à genoux sur le lit, tout sourire, ravies d’être arrivées à nos fins. — Mmm… qu’en penses-tu, Antinea ? — Je suis d’avis qu’on l’écorche vif ! — C’est un peu trop gentil… Et si on lui laissait une chance ? — Tu penses à quoi ? Je fais semblant de lui murmurer à l’oreille. Évidemment, notre plan est arrêté depuis un moment. — Eh bien c’est d’accord, reprend Antinea. Alex, pour te faire pardonner, tu vas être notre serviteur ce ...