Les délices du temps
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
... involontaire. Pensant avoir fait une bourde, je la retire, mais il dépose sa main sur la mienne et m’indique un mouvement de va-et-vient, ma culotte entourant entièrement son membre. Je comprends vite et continue le mouvement. Des gémissements se font rapidement entendre et il me semble sentir une certaine fermeté sous ma main. C’est très bon signe tout ça. Philémon le silencieux prononce ses premières paroles depuis son entrée dans la chambre : — Alphonsine, caresse-toi, je veux te regarder. Je n’ai rien à répondre, juste un petit rire et je me mets en position, adossée sur les oreillers. Il conserve ma culotte et se masturbe avec. Je le regarde faire quelques secondes, puis je me concentre sur ma chatte. Je la connais par cœur depuis des années, mais avec le temps, elle se fait capricieuse. Elle me demande plus d’attention avant de daigner être réceptive. Aujourd’hui, au moins, elle a bénéficié d’un petit traitement de faveur en avant-goût. Mon index part à la recherche de mon humidité, profondément enfouie, la salive aidant au passage. Je peux ensuite caresser tant que je veux mon petit bouton qui ne demande que ça. Et de le faire devant Phil, c’est encore meilleur. Mon index tourne et retourne, fouille, presse, humecte, taquine, mon sexe au complet réagit et s’ouvre enfin, luisant de plaisir. Je gémis au rythme de ma main, ma respiration s’accélère, mon corps se contracte par vagues, envahi par un plaisir mille fois renouvelé, mais toujours aussi bon. Je me sens partir, ...
... observée, je vois que maintenant Phil tient son sexe directement dans sa main et, ma foi, c’est une bandaison plus que raisonnable que j’aperçois. La pensée d’être bientôt pénétrée m’excite encore plus. Les sensations de plaisir se font plus pressantes, je ne contrôle plus grand chose. — Ralentis, commande Philémon d’une voix autoritaire.— Hein ? je lui fais, ne comprenant pas trop bien ce qu’il veut.— Je te demande d’aller moins vite, de te caresser plus lentement. Ça y est, cette fois, j’ai compris. Il veut que je ralentisse, mais moi, je veux juste jouir, je ne peux pas m’arrêter. Non pas arrêter, juste ralentir, c’est Phil qui me le demande. Oui, c’est ça. Je gémis de frustration alors que ma main va de moins en moins vite, comme si elle ne répondait plus à ma volonté, mais à celle de mon amant. Lentement, trop lentement, mon doigt passe et repasse sur mon petit clitoris tendu de plaisir, sur ma chatte qui déborde de mouille. À chaque passage, je m’enfonce un peu plus dans le plaisir fugace que cela me procure. De son côté, Phil grogne de plaisir à me regarder et à se caresser. Je vois même une goutte perler tout au bout de son membre. Personne ne lui dit de ralentir, lui. C’est pas juste ! Une nouvelle fois, je sens la vague déferlante qui arrive à toute allure, mon cœur bat à tout rompre, ma main s’active de plus en plus vite, tout mon corps réclame son dû. Je crie, avec ma tête qui chavire d’un côté puis de l’autre. — Plus lentement, Alphonsine, il faut aller lentement. ...