1. Découverte du journal intime de ma voisine si respectable.


    Datte: 21/02/2021, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, campagne, Collègues / Travail volupté, humilié(e), Oral pénétratio, fdanus, journal,

    ... industriel et en affaires avec le notaire). Dans le grand salon, à côté du feu de bois qui crépitait, un verre de cognac millésimé à la main, le paraplégique se régalait du spectacle des trois corps nus enchevêtrés sur les peaux de mouton immaculées. L’épouse de l’infirme obéissait docilement aux directives quelquefois outrageantes de son époux, maître du cérémonial de dépravations (les mauvaises langues affirmaient que c’était l’épouse du paraplégique qui conduisait quand l’accident s’est produit). Bien sûr, Germaine avait dû faire quelques extras pour gonfler sa cagnotte. Elle tenait impérativement à fournir seule le premier apport financier de SA maison, bien à elle. Un rêve de petite fille née dans une famille pauvre. Elle savait que, une fois par mois, elle devait préparer le repas pour trois membres du Rotary (rarement les mêmes) qui venaient discuter avec leur Président. Quand elle apportait le café dans le grand salon, le notaire lui annonçait souvent que ces messieurs tenaient absolument à participer au financement de sa petite maison dans la prairie. Germaine savait ce que cela signifiait. Elle avait mis au point, au fil des mois, un strip-tease sensuel et provocateur qui plaisait aux mâles. Elle éliminait donc tous ses vêtements, en dansant au rythme d’une musique arabo-andalouse. Elle balançait ses seins opulents au nez des spectateurs et cambrait exagérément les hanches en écartant les jambes, pour que sa grosse chatte velue fasse bander ces messieurs. Elle ...
    ... finissait en beauté par une pose assez obscène que lui avait suggérée le notaire : dos au public, elle baissait son buste pour offrir sa croupe rebondie et béante. Sa main droite passait alors entre ses cuisses pour simuler une langoureuse masturbation. D’après ses écrits, il n’était pas rare qu’un de ces messieurs attende ma mère à la fin de son travail pour lui éviter l’autobus et lui proposer une partie de galipettes (confortablement rémunérée)dans un coin isolé de la campagne environnante. Corinne rigolait en observant mon air complètement ahuri. Elle termina : La vie était très dure à cette époque et mon père, borné, ne lui rendait pas l’existence facile ; je ne blâme pas ma mère, elle voulait sa maison… En plus ils ne s’aimaient pas, j’en suis persuadée… Le notaire est mort subitement et je n’ai pas encore trouvé l’endroit où les autres cahiers intimes étaient cachés, mais je suis certaine qu’ils existent ! En fait, je n’avais pas une tête d’ahuri, mais bien celle de quelqu’un qui paniquait grave ! Je l’avais échappé belle… En effet, un événement peu glorieux me concernant figurait à coup sûr dans la suite du journal intime de Germaine… C’était un jour ensoleillé de juillet, deux ans après avoir pris possession des lieux, et je m’étais fait piéger lamentablement… Au moment des événements, j’avais vingt-neuf ans et Germaine vingt de plus mais tout son corps exprimait une sensualité torride. J’étais en train de nettoyer mon terrain envahi de chardons, alors que Germaine ...
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