1. Découverte du journal intime de ma voisine si respectable.


    Datte: 21/02/2021, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, campagne, Collègues / Travail volupté, humilié(e), Oral pénétratio, fdanus, journal,

    ... m’allonger sur son tablier. Le sexe dressé vers l’infini, j’attendais, un peu inquiet quand même… La luminosité baissa soudainement et plus une goutte d’air ne parvint à alimenter mes poumons : ma charmante voisine s’était assise sur mon visage en s’accroupissant. Ma bouche était obstruée par une grosse touffe de poils et mon nez se trouvait coincé dans la raie de ses fesses. Germaine agita son fessier imposant sur mon visage et se releva alors légèrement. Ma respectable voisine exprima le désir de se faire lécher la fente et le trou du cul par son bel ingénieur. Cette grande andouille s’exécuta bêtement car il pourrait enfin réaliser un vieux phantasme récurrent : enfoncer son gros index bien au fond d’un trou du cul féminin. Le buste parallèle au sol, les bras tendus pour s’accrocher à un vieux cerisier, Germaine m’offrait sa croupe, pour conclure, avant que son mari ne se réveille. Elle se montra satisfaite de ma prestation et de la libération retenue de mes spermatozoïdes dans son spacieux vagin. Je m’activais à essuyer, avec des mouchoirs en papier, une coulée de sperme dégoulinant d’entre les fesses de ma maîtresse, quand le bruit d’une fenêtre qu’on ouvre nous interpella. — Le militant suprême est réveillé… Il faut tenter de vivre !!! Germaine avait dégluti cette sentence avec un tel mépris, une telle répugnance, qu’il n’était pas difficile d’en déduire qu’un événement très grave s’était produit, un jour, dans leur couple. Elle en rajouta une couche. Sûrement que ...
    ... concrétiser sa haine devant un spectateur lui faisait du bien. — Le pauvre type à la fenêtre a certainement oublié d’arroser son laurier-rose, annonça-t-elle en me prenant à témoin. Toujours dans le plus simple appareil, bien campée sur ses jambes, elle positionna sa fente encore béante au-dessus de la jeune plantation innocente… Et elle pissa dessus, sans vergogne, agitant son bas-ventre pour que la dernière goutte ne manque pas sa cible… C’est en finissant notre récolte de fraises qu’elle m’informa, presque solennellement, que nos relations intimes s’arrêteraient là : nous avions passé un très agréable moment ensemble, mais elle n’était pas une briseuse de ménage. Elle m’invitait sincèrement à consacrer toute mon énergie au bébé qui allait naître dans deux mois et à sa maman. Coco avait repris de la tarte flambée et n’avait visiblement pas très envie de regagner sa maison vide. On fit donc l’amour, en copains, « pour que le corps exulte… ». Corinne revint quand même me rendre une petite visite crapuleuse, au printemps. Elle ne voulait absolument pas que sa mère soit au courant de notre liaison provisoire et éphémère. Elle me passa un coup de fil, attendit que sa mère fasse sa sieste, puis me rejoignit, en passant par le jardin. Je venais de lui démontrer mon savoir-faire en préliminaires amoureux. Coco, nue, à quatre pattes sur le divan, tenait à me prouver que la fellation n’avait plus de secret pour elle. Curieusement, cette petite bonne femme avait gardé ses grosses lunettes ...
«12...5678»