Section TG (15)
Datte: 21/02/2021,
Catégories:
Transexuels
27- La porte de l’appartement s’ouvrit. J’entendis la voix du député, mais aussi des rires féminins. J’eus juste le temps de me coller contre le mur, sur le balcon. François Marquant entra dans la chambre accompagné de deux femmes court vêtues. S’ensuivit un trio où François montra toute l’étendue de ses compétences. Les filles se gouinaient aussi dès qu’elles le pouvaient. La partie de jambes en l’air dura près d’une heure, pendant laquelle les filles furent satisfaites à tour de rôle, exprimant, ou simulant, leur jouissance avec toute la panoplie de gémissements et de cris. L’affaire faite, le député raccompagna les filles jusqu’à la porte et fila aux toilettes. J’en profitai pour sortir à mon tour. Une fois en bas, je jetai un coup d’œil vers le balcon et je vis François fumant une cigarette. J’avais eu chaud, très chaud. Un peu de plus, j’allais devoir jouer les monte-en-l’air. Le retour se fit tranquillement. François veillait jalousement sur sa valise et son sac de sport. Il passait les rares contrôles sans difficultés. Sa carte d’édile européen lui ouvrait toutes les portes. Je récupérai ma voiture au parking et allai planquer devant chez lui. Cette fois, il sortit le soir même. Je suivis la Fiat 500 vers la zone industrielle, au même endroit que la dernière fois. il se gara le long du trottoir, derrière une grosse BMW et je fis de même un peu plus loin, juste après un Ford Transit miteux et tagué du sol au plafond. A l’intérieur, deux hommes, casques audio vissé sur ...
... les oreilles, les yeux rivés sur des moniteurs télé se demandèrent qui pouvait être ce troisième larron. .oOo. Une fois la surprise passé de ce premier baiser, les deux femmes s’installèrent dans la chambre et vidèrent leurs valises dans les placards. Puis elles sortirent pour une première balade sur les Champs Elysées. Elles dinèrent dans un restaurant. Nathalie passa cette fois aux questions d’ordre privé. Sa famille, ses amours, son célibat. Nathalie ne manquait pas non plus un geste tendre, une caresse. Elles se tenaient par le bras. Une fois, elle voulut la prendre par la taille mais Isabelle se dégagea. Elle accepta toutefois qu’elle lui tienne la main. Une boule d’angoisse grossit dans le ventre d’Isabelle au fur et à mesure que leurs pas les rapprochaient de l’hôtel. Angoisse irrationnelle et irraisonnée. — Je vais prendre une douche, dit Isabelle. — Très bien. J’irai après. Isabelle s’enferma dans son pyjama sous la couette, attendant Nathalie. Pour la première fois de sa vie, elle allait passer la nuit avec une femme. Nathalie arriva dans une nuisette diaphane. — Rhooo, elle fait sa timide, railla Nathalie. Tout va bien se passer. Pas la peine de t’inquiéter. — C’est plus fort que moi. Nathalie s’allongea sur le ventre, en travers du grand lit. Elle s’approcha d’Isabelle et commença une série de bisous, d’abord sur l’épaule, puis dans le cou, sur sa joue. Elle atteignit la commissure des lèvres. Isabelle ne bougeait pas comme tétanisée. Nathalie continua, posa ses ...