Vally
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
ff,
fbi,
Masturbation
intermast,
Oral
fgode,
... exorbités. Il faudra qu’il soit nu afin que nous profitions pleinement, Vally et moi, de la vue de sa puissance masculine tout en nous faisant nos chatteries. Les femmes aussi sont voyeuses, et cela nous excitera encore plus, si c’est possible. — Hé ! dit-elle essoufflée, au bout d’un moment, tout en répondant à mes caresses, c’est ça que tu appelles dormir ?— Tu as raison, nous avons toute la nuit devant nous, réparons nos forces. En fait, je rêve terriblement fort maintenant d’un soixante-neuf avec elle, mais il faut être raisonnable, car de toute façon, je sais que nous le ferons très bientôt. Sans transition, je plonge dans un profond sommeil. Je me réveille avant elle. Dieu qu’elle est belle ainsi endormie, les lèvres à peine entrouvertes, et celles du bas aussi, je le constate en y mettant mon nez. D’autant qu’elle a les cuisses largement ouvertes, une jambe repliée, comme si elle s’offrait à un amant de rêve. Mon désir de soixante-neuf me reprend, aussi fort, sinon plus qu’avant mon endormissement, et je m’installe en conséquence, plaçant délicatement mes genoux de part et d’autre de son joli visage endormi. Alors, je me penche doucement vers sa fente humide ; elle doit vraiment faire un rêve érotique ma belle amie, car son bassin ondule très doucement, voluptueusement, et elle gémit un peu dans son sommeil. C’est vraiment très érotique. Et bien, elle va être servie. Mes seins viennent toucher son ventre si doux, que sa respiration du sommeil fait doucement ...
... onduler. De mes doigts, j’écarte très doucement les poils, et les grosses lèvres (il faudra que je la rase, elle sera plus accessible encore, complètement nue et lisse autour de sa délicieuse vulve), et je comprends vraiment pourquoi Will me préfère rasée, lui qui adore me lécher longtemps, longtemps jusqu’à ce que j’aie tellement joui que je lui crie et le supplie de venir enfin en moi avec sa grosse bite bien dure. Il adore que je le supplie comme ça, le salaud que j’adore, et alors il entre en moi, triomphalement, comme César dans Rome, et mes spasmes l’acclament ! Ma langue se pose enfin sur elle, et s’insinue dans sa fente, tourne en elle. Elle jouit très vite, très fort, toujours en rêvant sans doute. Son bassin ondule énergiquement, mais toujours si gracieusement, sa vulve dilatée se pousse vers ma bouche, elle gémit, et m’inonde de sa sève délicieuse et délicate. Ses mains agrippent mes cuisses. Je regarde son visage pour constater qu’elle s’est éveillée, qu’elle a ouvert les yeux pour voir tout près de sa bouche ma chatte lisse et nue qui la désire, à l’évidence, trempée comme elle est, et si ouverte déjà. Ses mains remontent sur mes hanches qu’elles agrippent, les tirent vers le bas jusqu’à ce que je me pose, écartelée sur ses lèvres et sa langue. Alors je plonge la mienne dans sa fente, et nous commençons un long et merveilleux échange parfaitement symétrique, où je perds les pédales, je ne sais plus qui je suis, moi ou elle, qui je lèche, et qui est léchée. Un plaisir ...