Vally - Histoires de Sexe

Vally

... mouillée, je l’épluche et je continue de me l’enfoncer comme ça. Pour finir, je me l’enfonce loin dans la gorge, bien parfumée de moi, et je finis par la manger. Pourtant, parmi ce qui est comestible, j’ai un faible pour les épis de maïs ; ça glisse bien, c’est de bonne taille quand on les choisit plutôt longs que gros, mais les reliefs des grains, ça fait vraiment du bien.— Je connais bien tout ça, et encore d’autres choses. Vraiment, tu n’as pas de vibro ?— Non, et grâce à toi, je me rends compte de ce que j’ai perdu de ne pas en avoir. Quand j’ai trouvé ton engin dans ton lit, encore chaud et mouillé de toi, avec ta délicieuse odeur intime, je n’ai pas pu résister à l’essayer à mon tour, et ça fait un effet fantastique ! Tu ne m’en veux pas ?— Hypocrite, tu sais bien que je suis ravie de t’avoir là, si belle, et toute nue dans mon lit. Mais tu vas essayer toute ma panoplie. Regarde, celui-là qui se tortille, je l’ai acheté aujourd’hui, et je ne m’en suis pas encore servie, tu ne m’en as pas laissé le temps. Le doré qui te plaît bien est un cadeau de Will, mon ami aviateur. Regarde, il a même gravé son prénom dessus. Je l’appelle "mon petit Will doré". L’autre, le vrai, c’est mon Will adoré. En quelque sorte, tu as déjà un peu baisé avec lui. En disant la dernière phrase, je me rends compte du sous-entendu et, par la même occasion, de mon désir jusqu’alors inconscient d’offrir à Will celle qui n’est même pas encore ma maîtresse. Mais elle semble n’avoir pas fait attention, ...

... aussi, je laisse cela de côté. — L’œuf, c’est aussi un achat d’aujourd’hui, et je ne sais pas encore ce qu’il vaut. Allez, commence par tes doigts, ainsi, je pourrais comparer avec ma manière de faire. De ses doigts gracieux, et intelligents, elle commence doucement à faire bouger en tournant la peau de son pubis et de ses grosses lèvres, aux abords du clitoris. Sûrement qu’elle ne se force pas, car je vois couler ses sécrétions de son sexe tout nacré. Que c’est beau et troublant, une femme qui se caresse ! En même temps, elle me regarde d’une manière telle, ses lèvres entrouvertes, que je ressens son désir de moi jusqu’au plus profond de mon sexe, qui la désire autant. Elle est si naturellement provocante, si féminine, si sexy ! Je me demande si elle est comme ça avec les mecs ou bien si elle se le permet totalement parce que je suis comme elle, une femme. Cependant, je constate une totale similitude entre sa manière de se caresser, et ce que je me fais moi-même assez souvent, il faut bien le dire. Sommes-nous sœurs à ce point dans le plaisir.? Ma propre main va sur mon sexe, et reproduit d’instinct les mêmes gestes qu’elle a sur elle, ce qui produit sur moi les mêmes effets délicieux. Nous soupirons ensemble, gémissons même, à l’unisson. Elle regarde ma main sur mon sexe, aussi fascinée que je le suis de la regarder faire. Elle tend timidement son autre main et effleure mes grosses lèvres, ce qui me fait vibrer de partout. C’est vraiment extraordinaire de se masturber l’une ...