1. Une semaine à oublier 1/3


    Datte: 28/10/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... rentrant le soir il retire le tube, libère mes chevilles et me positionne à genoux pour me prendre en levrette. Après avoir dînée je me comporte comme une chienne et me couche à ses pieds pendant qu'il regarde la télé ensuite je passe la nuit à la belle étoile sur la paille, enchaînée, bâillonnée et entravée (avec autour de la taille une ceinture munie de menottes qui emprisonnent mes poignets). Pendant la nuit il vient se soulager dans ma bouche ensuite comme il bande encore il s'allonge sur moi et défonce ma chatte puis au bout d'un moment arrose mon intimité. Avant de retourner se coucher il me dit: <<toi la pute tu me fatigues avec ton cul, je ne peux pas me reposer correctement la nuit avec tes envies permanentes de bite>>. Avec ce que j'ai dans la bouche je ne peux pas lui répondre que vu ma position le sexe ce n'est pas ma priorité. Le mercredi: C'est le rituel habituel du petit déjeuner, de la fellation et de la toilette. Avant de partir il m'attache les bras vers l'arrière avec une corde passée autour d'un gros tronc d'arbre mais laisse de la liberté de mouvements à mes jambes qu'il entrave de la même manière. <<aujourd'hui le jardinier doit venir, je lui ai dis que s'il en a envie il peut se servir de toi et que tu seras ravie de lui servir de vide-couilles, tu ne réponds pas c'est que tu es d'accord>>. Comment répondre avec la mâchoire déformée par la boule bâillon. Effectivement les heures passent et un homme maigre, assez agé et aux cheveux rares s'approche de ...
    ... moi. <<c'est toi la putain dont monsieur Mathieu m'a parlé, tu es belle je ne comprends pas que tu sois tombée aussi bas>>. Il caresse mon corps, insiste sur les seins et entre mes cuisses, il me doigte un peu. <<ton maître m'a dit que je peux te sauter, c'est vrai>>. En bougeant la tête je lui confirme>>. Il déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds suivi par son slip d'un blanc douteux. J'écarte les jambes et il s'escrime à faire pénétrer sa queue dont l'érection n'est pas fameuse dans mon sexe. Il y arrive enfin et cramponné à mes hanches il donne des coups de reins pour que son membre fasse des aller-retour dans ma grotte. Il est long à venir et je ne peux pas l'aider, il s'énerve, ses ongles pénètrent dans ma peau, il souffle beaucoup. Enfin le calvaire s'arrête quand il éjacule dans mon ventre. Il se retire chancelant après l'effort qu'il a du fournir puis se rhabille. Cet homme a été très bien choisi par mon maître pour me montrer que je ne suis rien. <<c'est dommage j'aurais voulu que tu me suces mais je n'ai pas le droit de te détacher ni d'enlever ce que tu as dans la bouche>>. Il s'en va et je retrouve ma solitude. En me faisant sauter par un homme diminué mon maître s'amuse à me mettre plus bas que terre et c'est vrai que je ne me sens pas fière après ce genre d'accouplement. Le soir Mathieu me couche sur la litière de paille étalée sur l'herbe avec uniquement la chaîne accrochée à mon collier de chien. Je comprends pourquoi, il reçoit deux de ses amis qu'il ...