Juste une fois... (Trouvée sur le WEB)
Datte: 23/02/2021,
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Première fois
... mon petit nom il m’envoyait paître pour mieux « profiter » de ma compagne.Et elle qui ne disait rien !Piqué au vif, je l’ai pris au mot : je suis allé chercher une coupe et de me suis installé bien en face d’eux pour me servir généreusement.J’étais bien décidé à rester là et assister au râteau monumental qu’il n’allait pas tarder à se prendre en pleine poire.Mais, jusqu’à présent, le gaillard s’en tirait plus bien.En bon commercial qu’il était indéniablement, ça ne le dérangeait visiblement pas d’assurer à lui seul la quasi intégralité de la discussion, Lison se contentant de lui accorder de laconiques assentiments de temps en temps et moi ne décochant pas un mot, dans l’espoir jusqu’alors vain de le perturber dans ses intensions.Il parlait donc beaucoup, mêlant compliments ouvertement flatteurs envers mon épouse et considérations plus banales sur son travail ou tout autre sujet qui lui venait à l’esprit.Mais immanquablement, il trouvait l’occasion de revenir sur la « beauté époustouflante de ma tendre épouse ».A un moment, l’air de rien, il posa une main sur le genou dénudé de celle-ci qui tressaillit légèrement.Là encore, le geste pouvait paraître anodin et sans conséquence, presque paternaliste, la paume posée sagement sur le haut du genou tandis que la pulpe du pouce en caressait l’arête de façon apparemment machinale.Cependant je commençai à tiquer lorsque ladite main entama un mouvement circulaire d’abord imperceptible puis de plus en plus prononcé, mouvement qui, comme ...
... par hasard, progressait peu à peu vers le haut de la cuisse exposée.Mais le plus surprenant dans tout ça n’était pas tant l’outrecuidance improbable de notre interlocuteur que l’étonnante apathie dont faisait preuve Lison.Elle qui d’ordinaire aurait depuis longtemps renvoyé l’impudent dans ses 22, le laissait faire docilement sans opposer la moindre résistancePire, par moment, j’avais la désagréable impression qu’elle recherchait ce contact étranger.Alors, quand je vis les longs doigts commencer à disparaître sous l’étoffe légère, je craquai :« – Dites, ça ne vous dérange pas trop de peloter ma femme sous mes yeux ?! »Il ne me regarda pas mais sa réaction fut immédiate : Il retira promptement sa main.« – Vous avez raison… Je me suis laissé envouter par le charme de votre épouse… J’ai outrepassé la bienséance » Continua-t-il sans la quitter des yeux.Malgré ce début d’excuse, il ne semblait pas pour autant regretter son geste.« – Je vais vous laisser terminer votre soirée… N’oubliez pas, chère Lison, que si vous le désirez, mon numéro de chambre est le 328. » Termina-t-il en lui accordant un baisemain furtif puis il se leva et tourna les talons sous nos regards ahuris.Passé un moment d’incrédulité totale, j’éclatai de rire :« – Non mais j’y crois pas ! Il est sacrément gonflé, ce type : Proposer la botte à ma femme sous mon nez, il ne manque pas d’air ! Il n’a peur de rien celui-là ! »Lison sourit avec tendresse :« – Oui, il est incroyable. »« – Il faut en avoir dans le gilet, ...