Je dévergonde ma mère... (3)
Datte: 28/10/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... cette histoire la dernière fois. Je me sentais un peu coupable d’avoir mal réagie. Je crois que j’étais jalouse et je me suis emportée. Je n’aime pas que n’importe qui mette les mains sur mon bébé. « J’étais aussi gêné, Maman. Mais tu sais, elle ne représente rien pour moi. Juste une relation de boulot. Et puis comme tu m’as dit : elle est trop plate pour rester dans ma vie. Tu sais ce que j’aime : les femmes mûres, avec des gros nibards et un cul bien rebondi. » Dis-je en riant. « Et tu aimes aussi les nuisettes en dentelle noire ? Hi hi. » Elle passa ses mains sur ses seins. - Oh oui Maman ! Tu es si belle ce soir. Ce décolleté est… affolant. « C’est vrai que tu aimes les gros seins mon bébé. Regardes Maman et dis-moi : Comment trouves-tu les miens pour mon âge ? » Et elle descendit les deux bretelles de sa nuisette. Je fus surpris par son geste et restais quelques secondes la bouche ouverte. Sa poitrine était lourde et bien pleine. Au moins du bonnet D. Ses seins paraissaient fermes, et malgré leur poids se tenaient encore très bien. La couleur brune des aréoles contrastait avec la blancheur laiteuse de ses mamelles. Ses bouts étaient assez petits, dressés et arrogants. Elle passait ses mains dessous pour les remonter. « Ils commencent à tomber, tu ne trouves pas ? » En disant cela, elle faisait balloter ses nichons de haut en bas avec ses deux mains. « Chéri, tu es là, je n’entends plus rien ? » Forcément, je prenais un peu le temps pour me remettre. Ma queue avait fait ...
... un bond vers le haut, menaçant de percer la mousse du bain. Comme je restais muet, elle reprit : - Petit vicieux, tu te rinces l’œil, hein ? Rooooh, tu es vraiment un petit cochon. - Je sais maman. Mais je crois que tu es un peu cochonne, toi aussi. Tu es quand même en train de te tripoter les nibards devant moi. Et tu sais ce que cela peut me faire. J’ai toujours su que tu étais une coquine et je l’ai encore vu dans tes yeux quand tu reluquais ma bite l’autre jour. - Oh mon chéri ! Qu’est-ce que tu as vu dans les yeux de Maman ? - C’est difficile à dire et j’espère que tu ne vas pas m’en vouloir… Mais voilà, je te dis tout, j’ai senti ton instinct de femelle. J’ai vu que tu aimais les grosses queues. Et j’ai vu que tu étais attirée par la mienne. - Oh Christian, tu as vu comme tu parles a ta mère ! Mais tu as raison. J’aime les hommes bien montés. ET ça fait si longtemps que je n’ai pas… Donc, de voir ton gros machin, mon chéri, ça m’a fait quelque chose. Je n’ai pas peur de te le dire. Je me lâche enfin parce que je ne veux rien te cacher! Oui mon bébé, c’est vrai que j’ai aimé regarder ta… ta bite. - C’est bien que tu l’admettes Maman. TU as aimé voir mon gros machin, comme tu dis. Si tu veux, je te montre le monstre caché sous toute cette mousse. Mais je t’avertis, il est déjà très dur. J’espère que tu ne seras pas choquée. - Rien ne peut me choquer venant de toi… Oh mon Dieu, Christiaaaaaaan ! Mais quel engin ! Ton sexe est si gros… Tu es si beau mon fils. Plus beau que ...