1. La petite robe dans la vitrine


    Datte: 24/02/2021, Catégories: fhh, hagé, inconnu, essayage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, couple+h,

    ... comptine coquine. — Ne vous gênez pas, Alan, dit Mme Iomescus en débouchant le sexe trop moelleux de son mari, je n’attends pas de vous des mots d’amour, et je ne déteste pas rire, même dans l’ascension vers le septième ciel. J’explique la raison de ma réaction exhilarante. — Alors là je prends, dit la jolie Elisa, l’expérience est d’une incongruité totale, mais diablement tentante. Nous changerons pour une fois la bande-son. Mais que vois-je ? Alan, vous débandez ?— Si peu, Madame, si peu.— Je veux, pour me baiser, une jolie queue bien raide,— Elle le sera, Elisa, ce n’était qu’un moment d’égarement. Votre beauté, la rondeur de votre croupe, les senteurs épicées et le clin d’œil de votre trou mignon sauront offrir à votre cul la raideur qui lui est due.— Allons-y sans attendre, dit la belle en embouchant la bite paresseuse de Jules. À genoux, la croupe cambrée et tendue vers ma queue à nouveau bien raidie, elle écarte ses cuisses pour me faciliter l’accès. J’avance mes reins, je touche du bout de mon gland son sexe lisse. « Pas trop vite, mon garçon, prends ton temps, (ma petite voix intérieure) laisse-la venir à toi, elle s’empalera elle-même ». La voix de Jules me ramène à la réalité. — Alors, et cette comptine ? J’avance juste de quelques centimètres le bout de mon gland dans la chatte trempée de ma belle complice, et j’entonne le chant polisson : — Les saints et les anges et même le p’tit jésus, Quand ça les démange, se grattent le trou du cul, Ave, ave, ave le petit ...
    ... doigt, Ave, ave, ave le petit doigt » Deux éclats de rire à l’unisson, qui forcent Elisa à abandonner sa proie. J’en profite pour m’enfoncer en elle d’un grand coup de reins qui la fait sursauter. Elle continue de rire, tout comme son mari qu’elle se met à branler d’une main convulsive. Je réitère mon avancée, projetant, à chaque cognée de mon ventre contre ses fesses, la belle contre son coquin. Son rire se transforme en gémissements rauques, en envolées de mots crus qui poussent mon excitation à son paroxysme. — Baise-moi bien profond… mets-moi ta grosse bite à fond… prends-moi toute, qu’elle est bonne ta queue, je mouille, je coule, je fonds, j’en ai rêvé, Alan l’a fait.— Ton petit doigt ! me dit Jules entre deux hoquets de plaisir.— Oui, Alan, supplie Elisa, plante-le-moi dans le trou du cul… Ma tête est comme dans un manège qui tourne dans tous les sens à la fois. Je ne m’appartiens plus, je ne suis plus maître de moi. Mes sens sont concentrés en ce bout de chair qui bourre ce cul magnifique. Je la baise par les deux trous. Elisa lance des vocalises qu’accompagne Jules par ses hoquets incontrôlés. Si la jouissance la chavire, Mme Iomescus n’en oublie pas moins son rôle principal et branle furieusement son mari qui vole à dix mille mètres au-dessus du plancher des vaches. Soudain, un cri : — B… de N… de… D… D… C’est pas vrai, je bande ! En effet, c’est incroyable mais Jules bande. Une belle érection même. — Mon chéri, mon amour, sanglote soudain, Elisa, tu es guéri ! C’est ...