1. Ma fille tient à moi (1)


    Datte: 25/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Je m’appelle Hervé, 44 ans, veuf depuis maintenant une petite quinzaine d’années et je vis avec ma fille Emma. Je l’élève seul depuis ses quatre ans et la disparition de ma femme, des suites d’une maladie incurable foudroyante. Je n’ai jamais compté que sur moi-même pour l’élever, et je pense que malgré la difficulté, nous nous en sommes bien sortis avec ma fille. Nous sommes très proches l’un de l’autre. N’ayant que peu de famille, nous nous sommes toujours serré les coudes ce qui a créé un lien fort entre nous. Emma a 18 ans, toujours lycéenne, elle habite forcément avec moi. Malgré son passage récent à l’âge adulte, elle reste pour moi ma petite fille adorée, mon bébé unique. Cela a d’ailleurs sûrement eu des conséquences sur ma vie privée. Côté sentiments, c’est le calme plat. Après le décès de mon épouse, il était impossible pour moi de fréquenter quelqu’un. Au-delà de l’aspect émotionnel de devoir « remplacer » la mère de sa fille, je n’avais tout simplement pas le temps, ni les occasions pour pouvoir ne serait-ce qu’envisager une relation amoureuse sérieuse. Ma libido a fini par se tarir complètement et m’occuper de mon enfant était finalement la seule raison de mon épanouissement personnel. La question de la sexualité était tout simplement négligée. Bien qu’Emma soit maintenant une très jolie jeune femme, elle n’a eu que peu de petits copains. Sa puberté l’a complètement changée et je me suis toujours dit qu’elle ferait des ravages chez les garçons. Peut-être que ...
    ... malgré elle, elle a suivi mon exemple et a limité ses activités sexuelles. Je pense tout de même qu’elle n’est plus vierge, ça fait maintenant 1an qu’elle prend la pilule. Voilà un résumé de notre vie actuelle. Mais celle-ci a dû changer, encore une fois pour des raisons médicales. Cela fait maintenant plusieurs fois que je suis en proie à des malaises et des étourdissements. Je pensais à des malaises vagaux sans grande importance, mais au final Emma m’a convaincu d’aller consulter, les crises étant de plus en plus rapprochées. Emma m’a accompagné au cabinet. Ca nous paraissait normal, je l’accompagnais déjà à ses consultations chez le gynécologue. Il était logique qu’elle vienne avec moi chez le médecin. Test, prélèvements, exercices... La totale, quoi. Et on attend les résultats... Une semaine plus tard, nous retournons chez le docteur pour les résultats des analyses. Le médecin préfère me prévenir : — Monsieur, j’ai donc reçu les résultats du labo. Rien de grave, mais il va falloir agir rapidement pour éviter des complications plus sérieuses. Je ne sais pas si je peux tout vous dire en face de votre fille, ce que je vais vous annoncer est relativement délicat. — Ne vous inquiétez pas docteur, je ne peux rien cacher à ma fille. Tout ce que vous me direz, je lui répèterais sûrement de toute manière — Très bien, alors voilà : l’origine de vos malaises est directement reliée à vos hormones masculines. Votre activité sexuelle s’étant totalement arrêtée, cela a détruit votre libido ...
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