1. Les jarretières de soie rouge


    Datte: 25/02/2021, Catégories: fhh, hbi, hagé, fagée, couplus, inconnu, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation intermast, Oral hdanus, hsodo, init, couple+h,

    ... et, après quelques caresses sur son sexe dont le gland pointe fièrement vers le ciel, je laisse, pour le plus grand plaisir de l’épouse qui me regarde, ma main guider tout naturellement son membre dans ma bouche. Il est chaud et dur comme je l’imaginais, avec un goût prononcé de mâle. Cette odeur intime que l’on dévoile malgré nous. Cette fragrance m’excite encore davantage, et je sens bientôt mon sexe se durcir à nouveau alors que je suce celui de Daniel avec énergie. Mes lèvres vont et viennent le long de sa verge tendue. Ses couilles sont lourdes et pleines dans ma main. J’ai tant de fois imaginé cet instant ! À présent, je peux réaliser mon désir de posséder l’objet phallique. De temps à autre, je le mords, et il semble apprécier. Son halètement est là pour me le prouver. Je le laisse choir quelques secondes, pour donner quelques coups de langue bien placés sur ses bourses pleines ainsi que sur son gland violacé pour entretenir son émoi, comme j’imaginais le faire dans mes nuits inexpérimentées. — Aaah ! je vais jouir ! me supplie-t-il, dans un dernier râle. Branle-moi ! Je m’exécute avec toute l’application nécessaire à cette tâche et il décharge bientôt son sperme brûlant sur ma poitrine, où il l’étale un peu. Sensation inédite. Nous avons un temps oublié Annie, qui s’affaire à ma toilette à l’aide de sa bouche. Mais déjà les jambes de Daniel se replient vers son torse. Il dégage son anus et le propose à mes soins, avec le plus grand naturel. Je prends une seconde ...
    ... pour me délecter de la vision de ce mâle, les quatre fers en l’air, soumis, qui m’invite dans une provocante posture à pénétrer son intimité la plus discrète et, de surcroît, devant son épouse. Je crois rêver un instant. Je parcours d’abord le tour de son anus de ma langue, tandis que mes mains, sur chacune de ses sphères, le maintiennent dans la bonne position. Il halète de plaisir et le jeu devient plus précis. En effet, ma langue, en parfaite exploratrice, visite maintenant toute la profondeur de sa mystérieuse caverne, que je pénètre ensuite d’un doigt, puis deux, comme j’imaginais le faire dans mes nuits les plus agitées. — Défonce-moi ! me dit-il, suppliant. Il y a des souhaits qu’on ne peut refuser. Il n’en peut plus de désir, sa queue est de nouveau tendue au maximum et son trou, avide d’être rempli, se dilate et se contracte dans l’appel désespéré de son contraire. Je lui enfonce d’un seul coup mon sexe dans le cul. Je suis moi-même au dernier seuil de l’excitation, mais je prends soin de ne pas me laisser toucher, pour ne pas hâter ma jouissance et terminer trop vite l’exploration de son cratère anal. Dans mon effort, mes couilles viennent frapper contre son cul dans un bruit frénétique qui trahir la moiteur de nos corps empreints de désir. Je m’accroche plus fort à ses hanches, mon sexe va-et-vient en lui, jusqu’à la garde, dans un état de bonheur inexprimable. — Oh oui ! Vas-y ! Bourre-moi !— Oui, bourre-le ! s’exclame Annie. Je me fais alors violent, cherchant à ...