Session de rattrapage
Datte: 25/02/2021,
Catégories:
2couples,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
... sur le point de jouir et il aurait suffi que Charles continue à me caresser pour que la vue de l’étreinte d’Agnès et Vincent me plonge dans un orgasme irrépressible. Il m’a allongée sur le lit, et tout de suite, couché sur moi il m’a embrassée tendrement. Sa langue était habile, ses baisers étaient doux. Son sexe écrasé sur mon ventre était dur. Il m’a regardée avec passion et m’a dit : — Depuis une semaine, j’attends ce moment. Depuis longtemps je voulais te séduire, mais c’est toi qui as gagné. Ton corps et ta façon de te faire aimer m’ont ensorcelé.— C’est parce que j’ai envie de toi… et que tu l’as senti. Pense au moment présent, donne-moi le plaisir que j’attends ! J’ai pris sa tête dans mes deux mains et je l’ai dirigée vers mes seins. Ses lèvres ont cajolé mes mamelons, les pinçant, les aspirant, les faisant s’ériger et durcir encore plus. Il a continué à descendre sur mon corps, a frôlé mon ventre. Puis j’ai senti son souffle sur ma toison et sa langue s’y frayer un chemin pour venir découvrir la saveur de mon désir, la douceur de ma chair et l’impatience de mon clitoris. J’ai poussé un cri. Je savais que Vincent pouvait l’entendre. Sachant aussi qu’une telle saillie de mon plaisir ne pouvait que l’exciter davantage et contribuer au sien, j’ai laissé mes émotions se manifester bruyamment, sans retenue. Charles m’a soufflé : — Tu aimes ?— J’aime tout !— C’est quoi, tout ?— C’est surtout ta queue ! Il s’est agenouillé entre mes jambes, son phallus tendu comme un ...
... arc, presque vertical. Il s’est penché jusqu’à ce que son gland vienne à travers mes poils caresser ma vulve. Il a saisi son pénis et le faisant frotter de haut en bas, ouvrant largement les lèvres de mon sexe, m’a arraché des larmes. Il s’est attardé sur mon clitoris, le stimulant par petits massages circulaires que je recevais comme des décharges électriques, faisant sursauter mon bassin. Lorsque j’ai senti dans mon ventre s’épanouir les premières ondes d’un plaisir intense, j’ai écarté les cuisses le plus possible pour m’offrir toute entière à son désir. À chaque frôlement de son gland sur l’ouverture de mon vagin, mon corps se cambrait pour demander plus de profondeur à ses caresses. J’avais un besoin primaire d’être pénétrée sauvagement. Mais Charles savait qu’il devait attendre avant de s’investir brutalement dans cet orifice que j’offrais à son plaisir. Ce n’est que doucement et progressivement qu’il est entré dans ma fleur ouverte, gouffre de mystère et de douceurs, captif dans ma demeure ruisselante et docile. Chaque centimètre de sa progression me donnait l’impression d’être possédée par une multitude de phallus robustes et délicieusement indiscrets. Depuis plusieurs jours j’attendais tant ce moment où nos deux chairs n’en feraient qu’une, que lorsque je l’ai senti au fond de moi, j’ai entouré son corps de mes jambes et de mes bras pour qu’il reste soudé au mien. En voyant les stores restés ouverts, j’ai revécu les sensations de l’après-midi, ce plaisir intense et ...