Session de rattrapage
Datte: 25/02/2021,
Catégories:
2couples,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
... n’avoir plus aucune réticence, Vincent et moi, à en goûter d’autres désordres. Je connaissais assez la robuste virilité de Vincent pour être persuadée qu’après avoir baisé avec Agnès, les activités d’un trio amoureux n’étaient pas de nature à lui faire baisser pavillon, d’autant plus qu’une telle situation était inscrite, comme pour beaucoup d’hommes, dans le scénario de ses fantasmes. Et c’est consciente et lucide que je me suis décidée à entrer dans la salle de bain ========== Ô ========== J’ai dû faire du bruit avec la porte, car l’occupant de la cabine de douche est sorti, a saisi un drap de bain et s’en est couvert. C’était le jeune Serge ! Avant qu’il ne me voie, j’ai eu juste le temps d’enfiler le tee-shirt que j’avais emmené avec moi. J’étais loin de supposer retrouver celui qui, bien que ne faisant pas partie de la fête, avait eu une telle importance pour moi, et moi seule. Une vague de chaleur m’a envahie et est venue se concentrer dans les zones les plus sensibles de mon corps. Interloqués tous les deux, nous sommes restés debout, et après un moment de silence je me suis excusée : — Je suis navrée, si j’avais su que vous étiez…— Vous n’avez pas à vous excuser. C’est moi qui aurais dû éviter de prendre ma douche ici. Actuellement, nous avons des problèmes avec nos canalisations et je ne peux rien entreprendre avant que mes parents n’aient pris une décision… J’étais à Aix avec des amis et je viens juste de rentrer de boîte. J’ai pris ma douche ici, pensant ne ...
... déranger personne à cette heure tardive. Depuis une semaine qu’Agnès est revenue, elle m’a autorisé à utiliser cette salle d’eau, même pendant ce week-end où vous étiez invités. Elle a beaucoup insisté en affirmant que ça ne dérangerait personne.— Je ne la vois pas refuser ça. Elle est si décontractée qu’elle n’a même pas imaginé qu’une telle situation pourrait être gênante.— Elle a raison, il n’y a rien de grave. J’ai voulu que notre tête-à-tête se prolonge. Pour lui montrer qu’en dépit de l’insolite de cette situation, j’étais disposée à parler avec lui, je me suis assise sur un tabouret. Il s’est assis sur le bord de la baignoire. Il semblait un peu timide et n’avait pas le comportement de quelqu’un qui nous aurait surpris, Vincent et moi, en train de baiser comme des affamés l’après-midi. L’incertitude dans laquelle je continuais à me trouver m’a contrainte à être très prudente dans mes propos. Si réellement il nous avait vus et s’il avait compris que je m’étais montrée complaisante à cet égard, il était probable qu’en le mettant en confiance nous allions d’une façon ou d’une autre aborder ce sujet, et qu’alors se profileraient des suites dont la porte était déjà entrouverte. Il suffisait d’orienter la discussion dans la bonne direction. Dans ce but, j’ai continué : — Vous êtes rentré de boîte tout seul, un beau jeune homme comme vous, pourquoi ?— On ne trouve pas toujours chaussure à son pied !— Et il y a probablement beaucoup de concurrence.— Là n’est pas le problème, ...