1. Session de rattrapage


    Datte: 25/02/2021, Catégories: 2couples, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio,

    ... mâle, pas seulement de lui montrer mon corps, mais surtout de lui faire partager mon désir. Depuis, l’envie de faire l’amour avec toi ne m’a pas quittée.— Moi aussi, et quand on ressent ça, plus rien d’autre n’a d’importance. On est prêt à toutes les folies. Le désir fait rendre vraisemblables et possibles tous les excès…— Continue… tu n’as pas eu envie de te joindre à nous ?— Peut-être ; en d’autres circonstances avec un autre couple, sûrement.— Quelle différence ?— La différence, c’est toi. Ma seule envie était de me retrouver seul avec toi, comme maintenant, pour te connaître et t’aimer sans rien partager.— S’il s’était agi de Charles et Agnès…— C’est arrivé une fois. Mais toi…— Tu nous as regardés jusqu’à la fin ?— Oui, j’étais fasciné !— Jusqu’à la fin ou jusqu’à ta fin à toi ?— C’est pareil… Je n’ai pas eu besoin de me masturber… c’est venu tout seul.— J’aurais aimé être près de toi, te voir, te toucher…— Tu l’es, près de moi ; profitons-en, gavons nous l’un de l’autre. Je me suis couchée sur lui, mes seins écrasés coutre sa poitrine. Il m’a entourée de ses bras et s’est emparé de ma bouche. De mes mains, j’ai écarté les lèvres de mon sexe pour que sa hampe sur toute sa longueur soit au contact de ma vulve. Son gland écrasait mon clitoris. Je me suis masturbée contre lui. S’aidant de ses mains pressées sur mes fesses, il a accompagné mes mouvements. Il a soulevé son ventre le plus qu’il a pu pour accentuer la pression de nos deux sexes l’un contre l’autre. Je savais ...
    ... que nous pouvions jouir ainsi, mais je voulais le sentir tout entier en moi. Il m’a soufflé : — Jamais aucune femme n’a su m’aimer comme toi. Tu vis mon plaisir autant que le tien. J’ai envie d’une nuit entière avec toi.— Je te le promets… oui, une nuit entière.— Pour avoir le temps… pour qu’on jouisse ensemble plusieurs fois, sans être pressé… de toutes les façons possibles, que nous nous aimions après nous être aimés.— Maintenant, c’est moi qui commande… je sais ce que tu veux. Si je continue à bouger, à masser ta queue… tu vas éjaculer, je le sens… mais comme toi, j’ai envie que tu m’écartèles, que tu me remplisses, que tu grossisses en moi… J’ai compris qu’il était prêt à succomber à son plaisir, mais je ne voulais pas que sa semence se perde entre nos deux corps. J’avais un besoin animal de sentir que les contractions de son éjaculation accompagnent les spasmes de mon orgasme, et qu’il déverse sa jouissance dans mon ventre. Il a suffi d’un léger mouvement de mon bassin pour que son gland vienne à l’entrée de mon vagin, glisse dans son humidité et bute au fond de moi. J’attendais tellement cette indicible sensation d’être bourrée par son phallus que je n’ai pu retenir un cri de bonheur. Nos sexes soudés l’un à l’autre battaient comme un unique cœur, irrigant mon corps des feux de nos plaisirs. Il n’avait pas cessé de me regarder, de m’embrasser, et ses bras qui me serraient collaient son ventre et sa poitrine aux miens, le moindre millimètre de ma peau en contact avec la ...
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