1. L'ébène du fantasme


    Datte: 25/02/2021, Catégories: fh, fhhh, couple, couplus, cadeau, fépilée, hotel, revede, noculotte, Masturbation Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, yeuxbandés,

    ... deux hommes en toute confiance, être prise comme une poupée obéissante. Il ne lui laissa pourtant aucune initiative. Il appuya sur sa tête avec ses deux mains pour reprendre la fellation. Son sexe s’enfonça profondément et accéléra ses mouvements, dictant la cadence aux deux autres. Valérie perdit définitivement pied. Elle agrippa le sexe de Paul d’une main, passa l’autre sur son périnée jusqu’à son anus. Elle insinua doucement son index en lui, montrant à Paul qu’elle aussi était active et maître du jeu. L’effet fut immédiat. La furie s’empara de la troupe. Le lit devint une mer en pleine tempête. Des creux énormes agitaient la surface du lit. Valérie, coincée entre les trois hommes, subissait leurs assauts. Elle branlait son homme avec la dernière énergie. Elle sentit une première décharge dans son cul. Une chaleur se diffusa dans son ventre. La semence l’envahit totalement. L’homme dans son vagin explosa à son tour. Ils déchargeaient sans discontinuer en elle, libérant toute la tension accumulée. Valérie n’avait jamais connu ça. Tout son corps brûlait. Son ventre était le centre du monde. Elle leva les yeux vers Paul. Le « merci » qu’il y lut le fit jouir immédiatement. Valérie reçut les jets puissants dans sa bouche. Elle explosa instantanément, jouissant comme jamais. Le sexe dans sa bouche la noyait, l’empêchait de crier librement son plaisir. Des sons sourds et bestiaux sortaient de sa gorge. Elle avalait tout ce qu’elle pouvait de son homme. C’était son cadeau à elle ...
    ... pour le remercier de ce moment inoubliable. Les deux hommes continuaient quant à eux de la prendre. Leurs mouvements étaient devenus plus sauvages. Plus personne ne contrôlait la situation, chacun s’excitant de la jouissance de l’autre. Les sexes entraient et sortaient de tous ses orifices. Personne n’aurait pu dire quand cela allait s’arrêter. Les mains parcouraient son corps, l’usant de caresses. Ses seins gonflés de plaisir étaient désormais durs. Valérie avait les oreilles qui bourdonnaient. Elle ne voulait pas perdre conscience, rater ne serait-ce qu’une seconde de sa jouissance extraordinaire. Son corps vibrait totalement… — Valérie, Valérie. Ma chérie, ça va ?— Quoi, qu’est-ce qu’il y a ? Je suis où ? Oh mon chéri, que je t’aime…— Moi aussi, je t’aime, répondit Paul, mais qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu as fait un mauvais rêve ? Tu étais tout agitée, tu poussais des grognements bizarres… Valérie ouvrit les yeux. La lumière de ce matin d’été au travers des volets découvrait leur chambre. Elle prit un peu de temps pour réaliser où elle se trouvait. La jeune femme se redressa légèrement. Sa fine nuisette de dentelle laissa sortir un sein. Valérie chercha autour d’elle les deux blacks. Personne. — Je crois que j’ai rêvé, dit-elle encore étourdie par le sommeil.— Sacré rêve, mon amour, vu comme tu étais agitée. J’ai entendu que tu m’appelais. Mais tu poussais aussi de drôles de soupirs. C’était quoi ce rêve au juste ?— Euh, je t’expliquerai plus tard, laisse-moi me réveiller ...