1. vive les fêtes ratées (1)


    Datte: 25/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... secoua la tête, comme embarrassée. Puis elle soupira et deux étoiles s’allumèrent dans ses yeux. Se penchant vers moi, Hélène passa sa langue sur ses lèvres et murmura, si bas que je faillis ne pas l’entendre : « C’est stupide, si on s’écoutait, nous finirions la soirée seuls à nous masturber, chacun dans notre chambre… ! » Je fronçai les sourcils, prêt à demander des explications quand sa main se posa sans hésitation sur mon entrejambe, commençant à imprimer un mouvement on ne peut plus clair. Le souffle coupé, je restai sans autre réaction que celle, toute naturelle, qui s’emparait de mon sexe, lui faisant retrouver sa raideur si cruellement quittée. Pendant ce temps, la bouche de ma sœur était à mon oreille et me soufflait de me laisser aller, de fermer les yeux. Trop de choses se bousculaient pour que je puisse répondre. C’est un lieu commun de dire que les hommes ne pensent qu’avec leur bite, mais à ce moment, je réalisais que cela n’expliquait pas tout. Oh oui, mon sexe était divinement caressé, par d’autres mains, enfin, que les miennes, mais la vision du corps de ma sœur pressé contre moi faisait résonner bien autre chose qu’une simple envie charnelle. Il y avait plus qu’un plaisir physique à caresser tout d’abord timidement ses flancs, puis ses cheveux alors qu’elle se penchait pour observer de plus près mon service trois pièces. La seule chaleur de sa respiration sur la peau de mon gland manqua de me faire jouir, alors qu’elle disait : « Voilà qui est digne ...
    ... d’intérêt… ! » Je pouvais presque sentir le contact de ses lèvres, mais ce ne fut que la pointe de sa langue qui passa rapidement de la base de mon sexe jusqu’au sommet, provoquant chez moi un gémissement étouffé. Mais Hélène se redressa et abandonna ce début de fellation. Elle remonta le bas de sa robe pour pouvoir s’asseoir à califourchon sur moi, comprimant mon phallus entre nos deux ventres. Ma sœur posa ses mains sur mes épaules et s’immobilisa un moment, m’observant avec un sourire. Je ne sais pas si cela était pour goûter le pouvoir qu’elle avait sur moi ou pour profiter de l’instant, mais je ne pus qu’admirer ses traits réguliers, ses yeux gris et ses longues boucles d’un blond presque châtain. Ce visage si connu, je ne l’avais jamais vu comme cela et jamais je n’aurais pensé que nos deux bouches se rejoignent de cette manière un soir. Nos langues se mêlèrent avec de plus en plus de fougue et mes mains ne se restreignaient plus : possessives, elles caressaient ses cuisses, ses fesses avec ferveur et commencèrent même à s’immiscer sous la culotte de ma sœur. Mes doigts suivirent la chute de ses reins, effleurèrent son petit trou, puis continuèrent jusqu’à parvenir au saint des saint, un endroit déjà humide qui s’entrouvrit sous la pression de mes doigts. Aussitôt, ses dents se refermèrent avec une feinte férocité sur ma langue et elle s’écarta de moi, empêchant mes doigts de poursuivre leur exploration. J’allais balbutier une supplique désolée, mais elle mit son index sur mes ...
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