1. Jason


    Datte: 25/02/2021, Catégories: nympho, bizarre, Voyeur / Exhib / Nudisme uro, policier, roadmovie, amourpass,

    ... ardeurs des John Wayne. C’était ainsi que je nommai les forcenés de la morale et du bien-pensant. Ce fut d’ailleurs ce qui détermina le type aux tatouages à sortir son engin de son jean. — Je… j’ai pas envie, je peux pas, bafouilla-t-il en contemplant sa verge molle. J’actionnai le chien. L’homme plissa les yeux et se concentra. Au bout d’une longue minute, une goutte perla à l’extrémité de son gland, avant de libérer un léger filet d’urine qui dégoulina sur le visage de Polly. — C’est tout ? demanda-t-elle en se relevant.— …— Hmm… je t’en veux pas, mon mignon. C’était bien quand même. Maintenant, je suis presque propre, dit-elle en léchant son bras comme une chatte. Mais je doute que ça plaise à mon mec. Il n’y a que lui que j’autorise à me pisser dessus. Qu’est-ce que t’en penses, mon bébé ?— Ben… je vais devoir éclabousser une nouvelle fois ton visage, dis-je en surveillant du coin de l’œil ma complice.— Hmmm… je mouille déjà. Ce que j’aimerais prendre un bain de foutre, bébé. Ton foutre. Partout sur mon corps….— Et… et moi, sanglota l’autre. Je… je vous admire, vous savez… Je disais ça pour déconner…— T’avais qu’à fermer ta gueule, connard ! J’ignorais encore à cet instant si j’allais exécuter cet enfant de salaud. Lorsque le destin décida pour moi. Une détonation déchira le silence qui régnait à l’intérieur du bar pour percuter de plein fouet la nuque de l’homme aux tatouages. Vrillant sur ses pieds, déjà mort, il effectua un quart de tour avant de s’écrouler sur le ...
    ... flanc. Un flot vermeil s’écoulait maintenant de ce qu’il lui restait de crâne. La personne responsable de ce carnage se tenait fermement campée sur ses jambes en face de l’entrée principale, un Desert Eagle en poigne. Il s’agissait d’un type de haute stature, aussi sec qu’une brindille, vêtu d’un complet couleur crème avec une rose à la boutonnière. Une gueule d’ange exterminateur. L’odeur de la gomina qui lissait ses cheveux noirs vers l’arrière était si puissante qu’elle venait titiller mes narines. Il avait l’air d’un mac sans pour autant la jouer minable. Car les macs ont toujours ce côté branleur du type prêt à se faire dessus à la moindre pression. Putain ! On ne les avait pas vus débouler. Parce que ce tordu à dégaine de porte-flingue était accompagné. Un autre homme, tout droit sorti des seventies avec son complet noir, sa chemise orange à col pelle à tarte, et son épaisse moustache blonde nous tenait en joue. Derrière ses Ray ban, je sentais ses yeux de braise nous cibler de son pistolet automatique Uzi. Une seule rafale et tout le monde filerait ad patres, à moins d’être béni des dieux. Car ils étaient là pour une raison bien précise : tuer. Tout comme Polly et moi le faisions d’ordinaire, ils nous considéraient comme de simples obstacles dans l’accomplissement de leur mission. À peine le corps de l’homme aux tatouages avait-il vacillé, nous avions pointé les gueules d’acier de nos armes dans la direction des tueurs, plus par réflexe que par réelle décision. Si bien que ...
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