Fantaisie domestique
Datte: 26/02/2021,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
vacances,
douche,
volupté,
facial,
Oral
jeu,
init,
... le milieu, deux charmantes petites nymphettes roses dépassent un peu, donnant envie de les baisotter. Je lave le tout très soigneusement. "Il faut faire aussi l’intérieur", me souffle-t-elle à l’oreille… Je suis à genoux devant elle. Elle écarte ses lèvres avec deux doigts : "Tu vois, me dit-elle, il faut laver tous les replis…" Je retrouve le petit capuchon, surmontant le fameux bouton magique et, au-dessous, l’entrée toute rose du vagin. Entrée d’une grotte fermée, évoquant mille félicités… Je m’exécute très soigneusement, lavant chaque pli, chaque recoin avec conscience. Je pense qu’elle n’a jamais été aussi propre. Je rince bien avec la douche et j’ai une furieuse envie d’embrasser ce sexe qui est là, juste à portée de mes lèvres. Mais Martine me fait relever. Je suis bien congestionné, avec une érection à la mesure de l’émotion que j’ai ressentie. — À moi, maintenant, me dit-elle. Elle entreprend alors de me laver tout le corps avec une vigueur de matrone et ma queue prend un peu de repos. Et puis : — Bon. On va s’occuper des choses ...
... sérieuses. Elle s’agenouille à son tour devant moi. Elle prend du savon dans ses mains, et me savonne doucement. Elle décalotte, remet du savon, puis rince soigneusement avec la douche, tout cela doucement, consciencieusement. Puis elle dépose des petits baisers sur le gland, puis sur le fourreau… Et puis elle se met à le lécher à petits coups de langue… Et puis elle le prend dans sa bouche, fait du va-et-vient, le ressort, le lèche, le reprend dans sa bouche et recommence… La sensation est divine. Pendant ce temps, son autre main me caresse les testicules et en arrière jusqu’à mon anus. Je fais aussi longtemps que possible des efforts désespérés pour retarder la fin, et puis je lâche tout. Je l’ai prévenue trop tard et elle reçoit tout dans la figure. Elle se lève. Des traits de sperme sur son visage, son menton, ses mains, ses cheveux même. Malgré l’état second où je me trouve, je suis tout embêté. Mais elle me regarde en souriant et dit simplement en se léchant les doigts : — Je crois qu’il va falloir tout se relaver. La prochaine fois, j’avalerai.