1. La Dépravation Chap2


    Datte: 27/02/2021, Catégories: Anal Hardcore, Transexuels

    ... que je me travestissais, qui plus est, que je suçais des bites et me faisait faire le cul…Elle acheta donc une cage à pénis qu’elle me fit porter à chaque fois que je partais en déplacement pour être sûre que je ne recommencerais pas.Puis, avec la période de crise et la récession économique, je perdis mon job. Seul son salaire de secrétaire nous permettait de survivre mais cela ne pouvait pas durer…Un jour, alors que je ne devais pas partir en voyage, elle me demanda d’enfiler ma cage. Sans trop comprendre, je m’exécutais, en effet, nous devions juste nous faire un petit resto tranquille. De plus, elle s’était habillé ultra sexy. Minishort avec des bas qui se révélaient dès qu’elle était assise, talons aiguilles, top en voile noir qui montrait complètement son soutien-gorge et rouge à lèvres vif.Cette soirée prit alors une allure bizarre, car en fait, je découvris en arrivant au restaurant que la réservation était faite pour trois personnes. A la table, nous attendait déjà le patron de mon épouse, qui se prénommait Philippe. C’était un homme d’environ 45ans, les tempes grisonnantes, mesurant dans les 1m85 et au physique plutôt sportif, il était beau à regarder et avait des yeux si sombres qu’on les aurait crus noirs.Chacun commanda un apéritif et le repas débuta sur des discussions banales puis je me rendis compte que ma femme caressait en fait une grosse boursouflure sous la braguette de son boss. Voyant mon air choqué, elle dit alors à voix haute :- « Je t’avais bien dit ...
    ... que je me vengerais… et tu ne vas rien dire, ni rien faire, tu vas juste nous regarder ce soir, car grâce à moi, tu vas en plus retrouver du travail. »Je compris mieux pourquoi elle m’avait fait mettre en cage…Le repas continua donc ainsi, elle avait même ouvert la braguette pour mieux caresser la bite de son patron. Une fois le repas terminé,Nous nous rendîmes donc chez lui. Il habitait une belle villa en campagne qui ressemblait plus à un manoir qu’autre chose.La demeure semblait immense vu de l’extérieur.Une fois à l’intérieur, on devinait le goût de l’homme pour les belles choses et le luxe qui convenait à son rang.Il nous installa dans un petit salon et nous offrit un peu d’alcool histoire que chacun soit bien détendu. Nous étions installé sur des fauteuils en velours et il demanda alors à ma femme de s’occuper de lui pendant que je les regarderais.Elle alla donc s’assoir à califourchon sur lui et ils se mirent à s’embrasser fougueusement. Déjà elle ondulait du corps et frottait son minishort contre la braguette de Philippe. Puis, elle se laissa glisser à genou pour sortir son engin tout gonflé et l’enfila entièrement dans sa bouche. Sa bite était de belle taille et je devenais à tour super excité mais complètement à l’étroit dans ma cage.Je m’imaginais moi aussi la prenant dans ma bouche et le suçant avidement. Mais c’était ma femme qui avait cette chance, et elle excellait en la matière. Elle lui faisait une de ces gorges-profondes dont elle avait le secret.Puis elle se ...