1. Plaisir et soumission


    Datte: 27/02/2021, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, médical, hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, Masturbation nopéné, sm, inithf, hsoumisaf,

    ... Je reste interdit. Elle a vraiment l’intention de me fesser cul nu, là, tout de suite ? Même si j’avoue (un peu honteux) que l’idée ne me déplairait pas dans l’absolu, quand même, une fessée… Devinant mon hésitation, elle poursuit : — Pas à toi, idiot. À ton vilain sexe qui te fait faire des choses encore plus vilaines ! Et joignant le geste à la parole, des doigts de sa main droite, elle vient vivement plaquer mon sexe turgescent contre le plat de sa main gauche. Ce n’est pas vraiment une fessée ni une claque, puisque finalement, c’est plus mon pénis qui vient taper contre le plat de sa main que l’inverse. Mais c’est tout de même assez douloureux, et plutôt humiliant. Elle recommence trois fois, le regard absorbé par le mouvement de ma queue contre sa main. Puis elle s’arrête, et relève les yeux vers moi. De mon côté, j’ai le souffle coupé. Mon sexe me fait mal, mais je ne débande toujours pas. Pire, j’ai l’impression qu’il durcit encore davantage. Je vois alors un étrange sourire passer sur le visage du docteur Liane, un mélange de satisfaction, de plaisir et de vice. Dans le même temps, je sens mon sexe recommencer à claquer contre sa main, un peu plus fort que précédemment. Et plus vite aussi. Je jette un regard apeuré au docteur Liane, elle se contente de me regarder en souriant du bout des lèvres. Elle accélère encore, et je vois ses mèches noires se balancer au rythme des claques qu’elle inflige à mon sexe. Plus vite, plus fort. Et plus mon pénis vient claquer contre ...
    ... sa main, plus je sens mon excitation augmenter irrésistiblement. Je finis par comprendre la nature de sa « punition » : elle veut me faire éjaculer comme ça, de la manière la plus ridicule et honteuse qui soit, pour me faire comprendre à quel point je suis pathétique. Le pire, c’est que je sais qu’elle va y arriver, ce n’est plus qu’une question de secondes avant que je ne puisse plus me retenir, malgré la vive douleur qu’elle m’inflige. Je finis par la supplier : — Non, s’il vous plaît… Pas comme ça… Un grand sourire éclaire son visage. Contre toute attente, elle s’arrête, et lâche d’un coup mon pénis rougi par des dizaines de simili-claques. J’essaie de retrouver mon souffle : je suis sur le fil, à deux doigts de l’orgasme le plus humiliant de toute ma vie. Je lâche un soupir de soulagement, et alors que je m’apprête à remercier le docteur Liane d’avoir stoppé sa dégradante punition, celle-ci éclate de rire. Avant que je ne réalise quoi que ce soit, je sens sa main venir gifler mon sexe encore tremblant. Une vraie gifle, cette fois, donnée avec force et amplitude, et qui vient violemment claquer mon pénis au point de le plaquer contre ma cuisse. Surpris, je lâche un cri mêlé de douleur et de plaisir. Car aussi cruelle qu’elle soit, cette gifle me rapproche encore davantage du point de non-retour, celui au-delà duquel je sais que je ne pourrai pas retenir mon éjaculation. Et si ce n’est elle, alors ce sera celle qui suit, du revers de la main, presque aussi forte et qui me ...