Le piège 5: j'ai encore envie de la voir ( revu et corrigé ) - Histoires de Sexe

Le piège 5: j'ai encore envie de la voir ( revu et corrigé )

« C'est là, déposes moi chez le banquier, j'en ai pour 10 mn. » me dit Fabienne. En sortant elle se pencha vers moi et me dit « J'ai trop envie de me faire enculer à nouveau par ta grosse bite , Bertrand. » puis elle se retourna en faisant saillir sa croupe magnifique. Dès son entrée, dans la banque, j'écrivis un message à Christian. »On est à la banque, on devrait rentrer dans une heure. « « Alors vous avez fait quoi ? » me répondit-il aussitôt. « Regarde, je t'envoie le tirage du loto en léger différé » et je lui envoyais le film de nos ébats. « Enorme, j'ai enfin réussi à ce que ma femme baise avec un autre et en plus par une énorme bite. Putain, elle est vraiment trop belle quand elle baise, Bertrand est vraiment un putain d'étalon.« « Alors ce banquier ? » fis-je à Fabienne qui était de retour . Charles qui ne savait rien de c'était passé dit « Tous des enculés » Je vis Fabienne réagir et regarder Bertrand en rougissant. Bertrand, lui, goguenard répondit en la regardant droit dans les yeux « Pour être exact, ce sont souvent plus des enculeurs que des enculés. » « C'est vrai, je confirme » lui dis-je. » Alors Fabienne, enculé ou enculeur » lui dit-je de mon air le plus innocent. « Un sacré enculeur mais j'ai payé de ma personne et j'ai eu mon découvert » fit elle faussement à l'aise. « Bon allez, c'est près on va manger, j'ai faim »dit Aline Fabienne naïvement dit « Moi aussi, j'avalerai n'importe quoi » Bertrand lui murmura un « je le confirme » qui la rendit écarlate ...

... ; Le repas se passa normalement ,enfin normalement, Bertrand et moi nous nous étions mis à côté de Fabienne et dès que nous le pouvions nos mains se baladaient sur les cuisses de notre belle et jolie femme, nos jambes se touchaient, nos regards s'effleuraient. Lorsque je sentais que Bertrand posait ses mains sur elle, je tournais sa tête avec ma main pour l'embrasser à pleine bouche. Elle gérait avec finesse le non-croisement de nos mains et à en juger parce que j'avais réussi à toucher, elle ne détestait pas ce que nous lui faisions. Un fois le repas terminé, nous sommes partis chacun de notre côté. Bertrand ne restait pas inactif et textotait avec Fabienne, en nous renvoyant en direct leur conversation. Nous étions donc tous sur nos portables. Bertrand :« j'ai envie de le voir » Fabienne « Quand tu veux » Bertrand « envoie moi une photo » 30 sec après Bertrand :« hummmm toujours aussi beau « Fabienne « moi, tu sais ce que je voudrais voir « Bertrand « Ma grosse voiture, d'ailleurs il faudrait que je la rentre au garage » « J'ai trois places à disposition dès maintenant si tu veux » fit Fabienne Charles me regarde en souriant » en plus, elle a de l'humour « « J'arrive tout de suite, dans quel garage veux-tu que je me gare ? Au fait, tu es où ? » « Dans la mezzanine « « Tu as déjà garé plusieurs voitures à la fois dans tes garages ? » « Jamais mais c'est pas trop mon trip, mon trip c'est plutôt les grosses voitures. Viens» « J'arrive tout de suite » « Putain, elle est juste ...