1. Ahmed


    Datte: 28/02/2021, Catégories: fh, fplusag, couleurs, extracon, grossexe, odeurs, ffontaine, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, extraconj,

    ... distendu, béant. Ahmed positionne de nouveau son sexe en face de mon anus et il s’y enfonça lentement, mais sans s’arrêter. Cela me sembla bizarre de sentir cet énorme sexe me perforer lentement le cul. Depuis qu’il me sodomise une nouvelle fois, je cherche ma respiration. À croire que la place prise par son sexe, chasse l’air de mes poumons. Le plaisir de la pénétration se termine quand ses testicules viennent claquer sur mes fesses. Puis, sans cesser son mouvement, il se retire. Je crois qu’il va sortir de mon rectum, mais non, il laisse son gland dans mon anus. Il recommence sa pénétration ; les allers-retours se font sur un rythme lent, mais régulier. Doucement, la cadence s’accélère. Depuis la nouvelle pénétration, j’ai bloqué ma respiration. Je suis muette, et malgré ma bouche ouverte, je cherche de l’air, comme un poisson sur la berge d’un étang. Les mouvements d’Ahmed déclenchent un nouvel orgasme anal. Je le sens venir, monter. Je gémis et, d’un seul coup, l’orgasme arrive, déferle. Je hurle de plaisir, lui demandant de me défoncer comme une putain. Je me conduis comme telle, comme une fille de mauvaise vie. Pour l’encourager dans son action, je donne des coups de reins en arrière pour accentuer de sa propre volonté son envie de se rouler dans la luxure. Il se retire encore, laissant un vide cruel dans mon ventre. Je lui dis de ne pas sortir, de me prendre encore. Pourtant, son sexe sort encore, puis encore. Son gland est au bord de ma rondelle, je serre mon cul ...
    ... pour le garder. Je me retourne vers lui et d’un regard suppliant lui dis : ­- Reviens, entre encore, reviens fort, très fort… Son regard se plante dans le mien et, sans rien dire, il pousse d’un seul coup son sexe au plus profond de mon cul, le tout d’une seule et unique poussée. La nouvelle intromission de son braquemart me submerge de bonheur. Ce sont comme des flashes certainement comparables à ceux que l’on obtient avec des drogues, douces ou dures. Je n’ai jamais essayé, mon reste d’éducation bourgeoise… Je crie. Il reste quelques secondes, plante son sexe en moi et repart. Je gémis, je supplie. Il donne un grand coup de reins et revient aussi vite, aussi loin, aussi fort. Ses coups de reins sont de plus en plus marqués. Le plaisir arrive à toute vitesse. Je le sens gonfler dans mon ventre. Il vient… Il est là. Un coup de poignard me transperce les reins. Je suis immobile, comme paralysée. Mon corps n’est plus qu’un réceptacle à sexe et mon cerveau est incapable d’avoir d’autres pensées que pour le sexe et le plaisir qui en découle. Je hurle. Je m’arc-boute sous lui et m’offre ainsi encore plus. Il me perfore. Il entre et sort de moi sans aucun problème. Je le sens sortir parfois entièrement de mon cul, mais il y retourne d’un trait, comme si sa queue avait toujours connu le chemin. Plus rien ne fait obstacle à une entrée tonitruante. Mon cœur bat la chamade. Je manque d’air. J’arrête de crier pour prendre ma respiration. Il entre, sort, entre, sort. Ahmed est devenu une ...
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