Ahmed
Datte: 28/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
extracon,
grossexe,
odeurs,
ffontaine,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
extraconj,
... seins nus sous mon ensemble en jean’s que j’ai assisté à l’embrasement du ciel, un peu comme le mien en cette merveilleuse journée. Nous sommes revenus à la maison. Ahmed voulait retourner à son hôtel. Mais je n’ai pas voulu. Je le voulais encore pour moi toute seule, je le voulais dans mon lit pour qu’il me fasse l’amour, pour qu’il m’encule, pour que je le suce. Je suis une vraie chienne… Dès notre entrée dans le hall de ma maison, je saute sur Ahmed. Je le pousse contre la porte d’entrée. Je me blottis dans ses bras. Je l’embrasse à pleine bouche. Je lui mange la langue. Il sait mon point faible. Ses lèvres se posent sur mon cou. Il m’embrasse et, aussitôt, je frissonne. Je deviens folle. Ses mains dézipent mon blouson. Expertes et brûlantes, elles happent mes seins dont les tétons sont instantanément durs et arrogants. Ils pointent au creux des paumes roses d’Ahmed. La caresse est délicieuse et horrible à la fois. Elle m’excite et me fait me tortiller comme un ver coupé. Tout mon corps est là, prêt, ouvert, disponible. Je me laisse bercer, porter par cette vague qui naît dans mes reins. Ma tête tombe en arrière pour laisser les lèvres d’Ahmed parcourir mes seins. Il les dévore avec d’infinies précautions. Ils sont là, ronds et fermes, brûlants et durs. Mes tétons pointent sous sa bouche experte qui les suce, les enveloppe. Je ne peux résister. Des soupirs de plaisir sourdent de ma bouche. Mon blouson tombe au sol. Sa main trouve la fermeture de ma jupe. Je l’embrasse ...
... avec violence quand le zip de la fermeture déchire le silence de la nuit. Je suis nue. Je défais, un à un, les boutons de la chemise d’Ahmed. Je découvre son torse musclé et glabre. Mes mains le parcourent, le sentent, le caressent. Il sent bon, un parfum mêlé à sa propre odeur indéfinissable, mais excitante, un mâle en rut, suçotant mes seins généreux. Mes mains redécouvrent des gestes lointains et oubliés. Elles descendent vers son ventre, la ceinture de son pantalon. Une bosse déforme le tissu au niveau de sa braguette. Je la caresse doucement et tendrement. Sa main me saisit par les cheveux et me contraint à l’embrasser. Son souffle et le mien se mêlent, nos langues se mélangent. Il me soulève et me colle à mon tour contre la porte. L’aluminium est froid contre mon dos. Son genou écarte mes cuisses sans aucune difficulté. Perchée sur mes talons hauts, son sexe se frotte contre mon pubis. Il se met à genoux. Je sens son souffle sur ma chatte. Les cuisses écartées, j’offre à sa langue mon clito gonflé et tout humide. Je suis en nage et très humide. - Tu es toute trempée… Tu as envie… - C’est de ta faute… Tu m’as obligée de me promener nue sous mes vêtements et tu m’as tripotée tout le temps du feu d’artifice… alors à toi de faire le pompier de service et d’éteindre l’incendie. Il replonge vers mon entrejambe. Je ne vois que sa tête qui s’agite entre mes cuisses dans la douce pénombre du hall. Le nez planté sur ma chatte, il s’applique à me faire monter au septième ciel. ...