1. La déchéance d'une bourgeoise


    Datte: 29/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... m'embrasser, il a troussé la jupe de mon tailleur, baissé ma culotte et touché ma chatte. Comme pour m'achever, il dit à Colette qui n'en perdait pas une miette: - "En plus, elle est trempée la salope ! - j't'avais bien dit qu'elle mouillait rien qu'à te voir ! D'une main il a défait son jean et sortit son sexe encore plus impressionnant que dans mon souvenir. De son autre main, il saisit ma tête par les cheveux pour amener ma bouche à hauteur de sa bite - Allez, montre moi si t'as progressé, la bourge ! - arrrrgh... - Putain, elle ne sait toujours pas sucer cette garce. Ouvre bien la bouche que je te la baise ! Et accompagnant le geste à la parole, il entreprit un va et vient dans ma bouche. Mais moi je n'avais plus envie que d'une seule chose, sa queue au fond de ma chatte. Quant enfin, il me releva et me bascula sur la table de réunion, mon rêve et mes fantasmes devinrent réalité. Je sentis ce sexe me prendre, me pénétrer, me remplir encore et encore. Je râlais, je suffoquais, je prenais mon pied comme jamais je ne l'avais pris. Je fermais les yeux pour ne plus voir Colette me regardant avec ce sourire de conasse sur le visage. Je les rouvrais pour voir cet homme viril me donner du plaisir. J'étais à lui, j'aimais cela, je ne voulais pas que cet instant s'arrête. Ses mains pétrissaient mes seins à travers mes habits. Tout mon corps était en transe. Les muscles de mon ventre répondaient à chaque assaut de son sexe. Ma jouissance a été longue, ravageuse, bruyante. Mais j'en ...
    ... voulais encore, et il continuait de me pilonner. Colette tout sourire, s'était rapprochée de nous, avait retroussé sa jupe et se touchait sans pudeur à travers sa culotte. Elle s'approcha de Paul qui me pénétrait toujours avec ardeur , et demanda son dû. - T'oublis pas ce que tu m'as promis ? - T'as raison Colette, tu l'as bien méritée ! Grimpe sur la table et fais-toi sucer. Colette ôta son string détrempé, monta sur la table de réunion où j'étais allongée sur le dos, et vint s'accroupir au dessus de mon visage. Je voyais sa chatte ouverte et luisante à quelques centimètres de ma bouche. Malgré mon dégoût, mon bas ventre me donnait toujours du plaisir sous les assauts de Paul. - Allez Isabelle, tu as intérêt à bien lécher Colette, sinon tu vas déguster. Colette posa son entrejambe sur ma bouche que je maintenais fermée en gémissant. Voyant que je n'obéissais pas à ses désirs, elle dégagea ma poitrine, attrapa mes pointes de seins entre ses doigts et les tordit violemment. La douleur me fit ouvrir la bouche. - Lèche salope ou je serre encore plus Elle relâcha mes seins lorsque je commençais à glisser ma langue entre ses lèvres. Sa cyprine coulait dans ma bouche. Jamais je n'avais été autant humiliée, jamais je n'ai éprouvé un si violent désir. Je me haïssais mais pour rien au monde je ne voulais que cette queue s'arrête de me pénétrer la chatte. Colette maltraitait mes seins en cadence, dès que j'essayais de me soustraire à sa chatte pour reprendre ma respiration. Son odeur ...
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