Xanths (5)
Datte: 28/02/2021,
Catégories:
Hétéro
... de plaisir ; de la mouille gicla de sa fleur. La chose relâcha Septima, qui s’effondra sur le sol, avant de la pénétrer de nouveau par le con. Cette fois il allait vraiment venir en elle. Une larme commença à perler au coin de mon œil : je ne pouvais rien faire du tout. — Regarde bien, regarde la bien. Je ne vais pas tarder à jouir entre ses cuisses, et son sort sera scellé. Non je plaisante, son sort était déjà scellé bien avant cela. Il lui assena un dernier coup de burin, magistral, qui lui arracha un hurlement qui fendit les cieux. La bouche grande ouverte, prêt à éjaculer. Il tourna l’œil et donna un grand coup d’aile, le propulsant deux mètres derrière Septima ; le mur invisible devant moi disparut. Une énorme hache fendit l’air, passant par l’endroit même où se trouvait la chose une demi-seconde plus tôt ; elle partit se planter violemment dans un arbre quelques mètres plus loin. Prise de surprise, je mis quelques secondes à réagir, avant de me précipiter sur Septima, toujours dans les vapes. Je n’avais aucune idée de ce qui avait attaqué la chose, mais une chose était certaine : il fallait se barrer, vite. Mon bras était toujours inamovible, mais je parvins à attraper Septima par la main, avant de glisser son bras autour de mon coup. La voix de la bête derrière moi me terrifia : — Tu peux sortir de l’ombre maintenant, c’est trop tard : regarde, je suis déjà venu. Tes protégées ne craignent plus rien de moi ce soir. Sexuellement parlant bien entendu. La douleur ...
... dans mon bras éclata une nouvelle fois, me faisant tomber à genoux. Septima s’effondra tout bonnement par terre, inconsciente. Je me retournai. Une créature apparut, par petites touches de lumière. Il était de petite taille. C’était Zvolk. Comment avait-il fait pour ne pas être remarqué ? J’avais l’attention toute portée sur Septima, mais ce n’était pas le cas de la bête. Et d’où sortait cette hache ? Zvolk avait toujours eu un maillet. D’ailleurs il l’avait toujours, accroché sur son dos : il l’attrapa, et s’en arma. — T’as rien à faire là, dit-il. Romane est même pas vagabonde, t’as pas le droit. Tu les laisses, sinon je te tue. La bête se mit à rire. Il se rua sur Zvolk et l’attrapa par la gorge, le soulevant de terre, lui faisant lâcher son maillet. — Et de quel droit ? Romane n’est pas vagabonde, mais la petite blonde oui. J’ai TOUS les droits. Tu m’entends ? J’emmerde Nathanaël, Je t’emmerde toi, et je tuerai tous ceux qui oseront se mettre sur mon chemin, j’ai TOUS les droits. Et rien ne m’empêche de tuer Romane si je le veux. Sur ces mots, je manquai de m’évanouir : mon bras me lançait, tellement fort que je parvenais à peine à garder les yeux ouverts, luttant pour ne pas sombrer. La bête tourna la tête de Zvolk dans ma direction . — Regarde là, elle a forcé sur son bras brisé pendant quatre longues journées. Ses os se sont brisés en fragments plus petits encore, ses petits muscles se sont déchirés d’eux-mêmes. Les os de son bras et de son avant-bras ne sont même plus ...