L'amante partagée
Datte: 01/03/2021,
Catégories:
grp,
couplus,
extracon,
Collègues / Travail
collection,
hsoumis,
fdomine,
vengeance,
strip,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
échange,
Partouze / Groupe
Autour de la table agréablement décorée, trois couples sont rassemblés : mes collègues de travail et nos femmes respectives, invités par Francesca, la secrétaire de notre entreprise. Nous devisons joyeusement, parlant de nos vacances, de notre travail, de nos enfants. Les conversations sont plutôt banales. Mon attention est mise en éveil par Mireille, la femme de notre ingénieur André. Elle explique, avec force détails, leur expérience naturiste sur une plage de l’Atlantique, leur arrivée, par hasard dit-elle, au détour d’une dune, sur la vision d’un couple nu, l’homme en train d’étendre de la crème solaire sur les seins, le ventre, les cuisses de sa compagne, en insistant bien sur l’entrejambe ; son sexe imposant, en semi-érection, appuyé négligemment sur la taille de la femme, caressait délicatement sa peau bronzée. Elle nous raconte leur stupéfaction, leur étonnement qui se transforme bientôt en voyeurisme. Puis Mireille qui prend lentement la main de son mari et l’entraîne un peu plus loin, lui avouant son trouble. Elle nous explique encore avoir mis la main sur la bosse du short de son homme pour vérifier son intérêt pour la chose. André essaie de minimiser les propos de sa femme, visiblement gêné de la tournure que prend la conversation. Mireille insiste, expliquant leur déshabillage progressif, la gêne de son mari restant au garde-à-vous, couché sur le ventre dans le sable. La cause à toutes ces midinettes, adolescentes et autres femmes mûres, nues comme des vers et ...
... déambulant allégrement autour d’eux. Mireille passe maintenant à la description des verges observées, les joufflues, les pointues, les barbues, pastichant Pierre Perret. André essaie de changer de conversation, mais il n’y a rien à faire ; les trois autres femmes sont hilares et parfaitement intéressées par le sujet. Les hommes, quant à eux, haussent les épaules, lèvent leurs sourcils, font semblant de ne pas être concernés par les propos de Mireille. Francesca se lève de table et se dirige vers la cuisine, lentement, en liftant chaque pas. Il faut dire qu’elle est agréable à regarder, de jolies fesses, ni trop grosses, ni trop minces, une taille fine, un grand dos bien cambré avec des épaules agréablement rondes et dénudées par le top jaune paille serré autour du cou, une nuque fine un peu dégagée, des cheveux peignés en rond, marrons avec quelques mèches blondes. Quand elle marche, un petit espace entre ses cuisses et le pubis laisse entrevoir le ciel… — Je vois que Francesca t’intéresse au plus haut point, m’interrompt ma femme Claire en me sortant de mon rêve. Tous les gars du bureau doivent la regarder avec envie. Et ma femme entreprend, à mon grand étonnement, de questionner mes collègues André et Hugues sur leur rapports avec Francesca… Comment ils la voient, comment sont les rapports professionnels… Et chacun de sortir quelques banalités : elle est gentille, compétente, aimable… — Vous arrive-t-il de rêver en la regardant ? continue-t-elle. Elle commence à exagérer et ...