Une histoire d'huîtres
Datte: 29/10/2017,
Catégories:
fh,
couple,
caférestau,
fête,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
fdanus,
humour,
— Tu es ravissante ce soir.— Merci, tu n’es pas mal non plus !— Peut-être, mais toi, tu es… rayonnante ! Voilà le mot que je cherchais, rayonnante.— Tu vas me faire rougir.— Tu n’en seras que plus belle.— Pourquoi tous ces compliments ?— Parce que tu les mérites amplement.— Aurais-tu une idée derrière la tête ?— En quelque sorte, mais elle ne se concrétise pas uniquement derrière mon crâne.— ???— Si tu pouvais jeter un œil sur mon entrejambe, tu aurais une idée du phénomène.— Pfll ! Regarde ce que tu me fais faire. J’ai failli m’étouffer avec mon vin.— Désolé.— Du vin coule entre mes seins.— J’aimerais être cette goutte. Laisse, je vais éponger moi-même…— Mmm !— Ce n’est pas avec une serviette que je voudrais le faire.— Avec quoi alors ?— Avec ma langue, récupérer chaque goutte de ce Sancerre là où elle se niche…— Arrête, tu me fais frissonner.— Entre tes seins, aux rondeurs parfaites…— …— Sur ton ventre doux.— …— Peut-être même…— Chut, si tu continues, à cet endroit, tu ne trouveras pas que du Sancerre.— Déjà ?— Je crois que les huîtres me font de l’effet.— J’ai une idée…— Mais que fais-tu ?— À ton avis !— Crois-tu que ce soit raisonnable ?— M’en fous !— Attends…— Non !— Une fourchette à dessert me rentre dans les fesses.— Hou la vilaine, moi seul y ai accès !— Coquin !— Mais tu n’as pas mis de culotte !— Si, mais je viens de l’ôter.— Petite cochonne !— Je me suis fait toiletter la chatte.— Tu es trop attentionnée.— Je sais que tu n’aimes pas les pubis épilés.— Je me dois ...
... de te remercier.— Madame, Monsieur, je vous prie de vous arrêter !— Vous voyez bien que nous sommes occupés.— J’insiste !— Laissez-nous tranquilles.— Oui, là, ta langue là !— Mmmoui !— Encore, comme ça, oh oui !— Si vous continuez, je vais appeler la police !— Appelez, appelez, tant qu’ils ne nous dérangent pas…— Mais c’est scandaleux !— Voilà, c’est mieux ainsi.— Voulez-vous remettre la robe de madame !— Non, elle me gênait.— Vous ne pouvez pas laisser madame dans cette… nue !— Elle n’est pas nue, elle a toujours ses bas et ses chaussures !— Mais… POURQUOOOI !— Pour la promesse faite de lui lécher le Sancerre entre ses seins.— Haha, tu me chatouilles.— Ce n’est pas drôle.— C’est vous qui voyez.— M… Mais, vous n’allez pas retirer votre pantalon ?— Si, pourquoi pas ?— Oui mon chéri, mets-toi nu. Je veux sentir ta peau sur la mienne.— Au fait, j’oubliais de te dire, je t’aime et tu es de plus en plus belle.— Mais ce n’est pas possible !— Comment, ma femme n’est pas belle ?— Heu… si, mais…— Elle est belle, oui ou non ?— Là n’est pas la question…— Si, la question se trouve là. Depuis tout à l’heure vous reluquez ma femme, satyre !— Mais non, remettez votre pantalon et votre chemise !— Pour ce que je veux faire, vaut mieux pas.— Ah non, STOOOOP !— Lève les jambes mon amour, mets-les sur mes épaules.— Comme ça ?— Très bien.— Oui, vas-y d’abord en douceur, tu sais que j’aime bien te sentir entrer lentement.— Mais mon Dieu, que vous ai-je fait ? Pourquoi me punir avec ces malades ?— ...