Sylvie, ma belle-sœur(5)
Datte: 01/03/2021,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
En laissant Sylvie la dernière fois devant chez elle, je lui avais dit que je la rappellerai le lendemain. En fait je n’en fais rien car j’ai décidé de la laisser mariner et penser à tout ce que je lui ai fait subir. Si elle a suivi mes instructions elle doit être désormais libre comme l’air et avoir quitté définitivement Laurent. Je pars en déplacement professionnel une semaine et à mon retour j’aviserai. Il faut qu’elle soit en état de manque vis-à-vis de moi pour que je puisse maintenir mon emprise sur elle.Pendant toute mon absence je reçois des SMS de Sylvie qui s’étonne de mon silence. Je me garde bien de répondre…Dès mon retour je l’appelle, j’ai quelques jours de congés après mon déplacement, et, sans lui laisser le temps de réfléchir, je lui dis que je passe la chercher dans une demi- heure au bas de l’immeuble où elle habite chez ses parents. Mes ordres fusent :• En jupe et chemisier ! Pas de culotte, pas de collants, pas de soutif !Et je raccroche.Je la trouve comme prévu au lieu indiqué montrant ainsi sa soumission totale. Elle monte dans ma voiture et je démarre sans prononcer une parole. Elle ne dit rien non plus attendant mon bon vouloir.Je parcours quelques kilomètres et m’arrête dans un chemin creux. Sylvie me regarde avec appréhension. Je défais ma ceinture de sécurité et je me penche vers elle pour lui rouler une pelle d’anthologie. Nos langues s’enroulent dans une furie qui trahit son attente pendant laquelle elle est restée sans nouvelles de moi. Elle ...
... tremble de bonheur. J’en profite pour passer ma main gauche sous sa jupe. Elle écarte ses jambes pour me faciliter l’accès à sa moule déjà trempée dans laquelle je n’ai aucun mal à faire pénétrer les quatre doigts de ma main… Je libère sa bouche et lance un ordre :• Recule ton siège et abaisse le dossier!Elle s’exécute. Dans cette position je peux alors mieux jouer avec ma main. Mon pouce rejoint mes doigts et, lentement, tout en effectuant des va-et-vient avec mon bras, je fais tourner ma main pour agrandir sa chatte et l’introduire en entier jusqu’au fond de son vagin. Elle feule de bonheur, pousse de petits cris, me dis des mots insensés :• Baise-moi bien avec ta main, aarhhh, j’aime, encore, je n’en pouvais plus d’attendre, tu peux faire de moi ce que tu veux je suis ta chose… Ahhh je jouis !Elle trésaille emportée par l’orgasme violent qui l’envahit.Toutes ces paroles dites ne tombent pas dans l’oreille d’un sourd et vont faciliter le scénario de la journée !Néanmoins cet épisode ne m’a pas calmé, au contraire. Il faut que je me soulage. Profitant de sa position allongée, j’enlève mon short et mon caleçon, puis j’enjambe tant bien que mal son corps (l’habitacle de la voiture ne facilite pas les choses…) et je frotte mon gourdin bien bandé sur sa figure. Sylvie ouvre sa bouche et commence un léchage en règle de mes bourses, puis de ma queue. Je ne peux résorc*r plus longtemps à ce traitement car je suis en manque suite à mon absence et au fait que Sophie, ma femme, sa sœur, ...