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Les Soirées de Virginie
Datte: 01/03/2021, Catégories: fhh, jeunes, fépilée, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo,
Virginie alluma une cigarette et tenta de se détendre dans le siège inconfortable du TER qui la ramenait chez elle, au terme de sa semaine de cours. Lorsqu’elle releva les yeux, elle eut juste le temps de voir le passager assis devant elle détourner rapidement le regard. Elle comprit qu’il devait la regarder sommeiller depuis quelques minutes et en ressentit une certaine fierté. Elle sourit en pensant à son succès devant la gent masculine. Virginie n’était pas une beauté académique et acceptait volontiers le fait d’avoir cinq à six kilos superflus, mais les hommes tombaient devant elle comme des mouches. Son regard était sans doute son atout principal. Ses grands yeux noisette faisaient perdre leur sang-froid aux garçons qu’elle croisait et ses lèvres pulpeuses lui permettaient de lancer des sourires assassins. Elle usait également de la faiblesse des hommes pour sa généreuse poitrine, d’autant qu’elle ne l’entravait que rarement dans un soutien-gorge. À dix-huit ans, sa tenue naturelle suffisait. Le point critique se situait sous la ceinture. Ses deux fesses avaient largement profité de son manque d’exercice et de ses abus de Nutella, mais les formes généreuses rebutent rarement un homme décidé. Satisfaite de son tour du propriétaire, Virginie se mit à penser à la soirée qui l’attendait. Mustapha lui avait demandé de passer chez lui, où elle retrouverait une petite dizaine de leurs amis communs. Elle savait pertinemment que l’encombrant Nicolas serait là, mais elle espérait ...
... en profiter pour lui faire comprendre une fois de plus que tout espoir était vain. Lorsque le train ralentit, elle sortit de sa torpeur et constata que son compagnon de voyage continuait à la regarder régulièrement. Saisie par la fraîcheur, Virginie regrettait de n’avoir enfilé qu’un petit haut moulant sous son élégant gilet noir et elle constata que le froid lui durcissait les tétons qui pointaient sous la fine épaisseur de tissu. À la fois gênée et amusée par le regard gourmand du jeune homme qui lui faisait face, Virginie décida de mettre fin à la situation, non sans l’avoir d’abord remercié de la rassurer sur son charme. Elle fit mine de réajuster son haut en le tirant à la base, ce qui eut pour effet d’accentuer son décolleté déjà véritablement avantageux. Bouche bée, l’inconnu vit le tissu dévoiler ses deux seins ronds et bronzés jusqu’à la limite des tétons. Au moment où ses jolies aréoles brunes commençaient à être exposées, Virginie relâcha le tissu et lui jeta un regard offusqué qui le fit rougir et se détourner. Elle sourit en pensant à l’occupation solitaire du voyeur, dès qu’il regagnerait son lit et se dirigea d’une démarche chaloupée vers la sortie du wagon. Virginie monta dans la voiture de Mustapha qui était passé la chercher. Ils n’échangèrent que des banalités sur le chemin et arrivèrent rapidement chez ce dernier où les attendait Manu, son colocataire. Les deux jeunes hommes étaient des séducteurs chevronnés, entretenant des amitiés féminines dans toutes ...