1. La gérante de la galerie d'art (13)


    Datte: 29/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... maintient fermement par la taille, ses deux mains refermées juste au-dessus du débord des hanches, et, maintenant accroupi au-dessus de son cul, il monte et descend avec l’amplitude maximale, lui envoyant toute la longueur de son gros membre ramoner son petit trou, sans se soucier des gémissements désespérés, étouffés par ma queue dans la bouche de cette chienne. Je sais qu’elle aime par-dessus tout se faire enculer, mais des calibres de cette taille elle n’a pas l’habitude de se les prendre dans le fondement. J’imagine son petit trou bien dilaté, à la limite d’être déchiré… De temps en temps, il lui claque violemment les fesses, d’une main puis l’autre. Moi, je profite du martinet bien en main, pour lui cingler sa nichonaille ; elle pousse des cris étouffés, elle finit même par recracher mon morceau, essayant de résister tant à mon braquemart qui lui baise la bouche qu’aux lanières qui mordent cruellement le fin satin de ses seins… Elle se rebelle, ne supporte pas un tel traitement. J’ai pitié d’elle, je cesse cette flagellation un peu cruelle, mais c’est pour mieux attraper ses mamelons bruns et fermes, étirer et allonger de plus en plus ces jolies tétines bien gonflées. Elle reprend la fellation, conquise, soumise, en acceptant d’être ainsi manipulée. Quel spectacle ! On ne reconnaît plus la proprio d’une galerie d’art, on croirait voir une pute de bas étage, échevelée, et trombinée dans un lupanar, ou une salope lubrique, dépravée, en train de se faire défoncer dans un ...
    ... club libertin. Je commence à me lasser de sa bouche, et je demande à mon hôte : « - Voulez-vous bien me laisser la place, cher ami ? J’ai furieusement envie de lui défoncer le cul à mon tour, à cette Jenna. J’ai beau l’avoir déjà pratiquée, je ne m’en lasse pas : j’adore entendre ses cris déchirants quand mon gros chibre force sa petite rondelle et s’enfonce bien profond dans son rectum… ! — Mais bien entendu, Docteur. Son cul est à vous, vous en êtes le propriétaire, il est normal que vous en disposiez quand vous le souhaitez… — Vous n’aurez qu’à baiser sa bouche… ou ses gros nichons… Elle a plein de ressources, vous savez ? — Oh mais je n’en doute pas. Me branler entre ses gros seins mous, et enfoncer mon gland dans sa bouche de salope, quel programme alléchant, j’y vais de ce pas ! — Et moi, je sens que je vais lui travailler le cul tout d’abord avec un gros gode, d’un calibre qu’elle n’a encore jamais essayé… Ça lui fera les pieds… Ou plutôt le cul ! HAHAHA ! Et je pourrai mieux m’enfoncer ensuite d’un seul coup et jusqu’à la garde tout au fond de ses entrailles… ! » ° ° ° Ce n’est pas la sodomie a priori qui me plait mais l’acte au cours duquel je me retrouve soumise et brutalisée. Quoique je dois avouer qu’être doigtée dans ce trou tabou m’excite bien. Toujours est-il que son ami s’en donne à cœur joie. Il le dit d’ailleurs entre deux grognements brutaux : « Baiser le cul d’une bourgeoise en bottes est mon fantasme depuis longtemps » A leur merci j’essaie cependant de ...