Les saveurs du soleil d'été
Datte: 01/03/2021,
Catégories:
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Le soleil. Il est si bon de sentir sa chaleur sur sa peau. De caresser son corps chaud lorsqu’il vient d’être baigné par l’astre des lumières. Bon sang, que ferions-nous sans lui ? L’été est ma période favorite de l’année. Le retour des vêtements légers si agréables à porter. On dit du printemps qu’elle est la saison des amours. Peut-être. Mais alors que dire de la saison suivante ? Je sais ce que vous pensez : l’été est indubitablement la saison du sexe. Mais oui, voyons, nous passons le plus clair de notre temps à moitié nus durant nos vacances et regardons passer hommes et femmes derrière nos lunettes de soleil. Qui n’a jamais observé avec délectation le défilé tout en faisant semblant de lire un livre sur la plage ? Dès que nous sommes en âge de connaître les joies du corps enfiévré, on regarde, on essaye de s’imaginer. On en voit de belles choses. Alors la machine à fantasmes se met en route… Combien de fois j’ai regardé ces hommes passer devant moi avec leur sexe dans leur maillot de bain, ces surfeurs se changer à même la plage dans leur combinaison moulante ? Puis il y a toutes ces femmes qui derrière leur bikini semblent pour ainsi dire nues. Leur abricot prêt à être cueilli. Bien sûr, je n’aborde pas les adeptes du monokini, ni même les camps de nudistes. Je me rappelle d’une fois où je regardais ce merveilleux spectacle, une brise légère effleurait ma peau en plus du soleil qui ne finissait pas de la caresser. J’ai vu passer deux merveilleux prototypes de la ...
... masculinité. Ils étaient beaux à en faire damner un saint. L’un avait la peau d’ébène, il était merveilleusement bien bâti. Le second, plus fin, avait la peau dorée magnifique des hommes de l’Inde. Le pire, c’est qu’ils se sont installés juste à côté de moi. Plus exactement devant moi, à disons deux à trois mètres. Ils ont posé leurs affaires et m’ont demandé gentiment si je pouvais les surveiller. Si je pouvais les surveiller ? Bien sûr ! Mais je n’allais pas regarder que leurs serviettes. Quand ils sont revenus de leur baignade, leurs corps humides n’en étaient que plus désirables. Je crois que mon maillot devenait aussi mouillé qu’eux. Ils se sont séchés sous mes yeux qui, derrière mes lunettes, n’en perdaient pas une miette. Bon sang, si je m’étais écoutée, j’aurais glissé ma main vers mon entrejambe. J’avais le feu ; il faut dire que mon ex m’avait quittée deux semaines auparavant en prétextant vouloir prendre le job de ses rêves je ne sais où en Hollande. Tant pis pour lui, mais pour moi aussi qui devenais un peu en manque ; ces deux hommes me combleraient tellement. Tombée dans mes rêveries, l’un d’eux m’adressa la parole en me remerciant tout d’abord pour avoir gardé l’œil sur leurs affaires. C’est alors que je ne sais pas ce qu’il m’a pris, du tac-au-tac je lui ai répondu : — Pas de quoi ; il n’y a pas que sur vos affaires que j’ai gardé l’œil. Mais ce n’est pas vrai, où avais-je la tête ? Ces mots étaient sortis soudainement et je n’avais pas su les retenir. Pour le coup, ...