Bon séjour !
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Inceste / Tabou
grosseins,
groscul,
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
pénétratio,
occasion,
extraconj,
... déserts. Bizarre… M’apprêtant à ressortir, j’entends un bruit étouffé venant de l’étage. Intrigué, je monte et traverse le couloir sans bruit. En approchant du bout du couloir, les bruits se font plus distincts et je perçois des gémissements étouffés, particulièrement équivoques. La dernière porte (c’est la chambre de Philippe et Audrey) est entrebâillée. Pas de doute, c’est de là que s’échappent les gémissements ! J’enlève mes chaussures et m’approche en silence. Je glisse un regard dans la chambre par la porte entrouverte et vois Audrey… seule. Le spectacle est impressionnant : elle est à quatre pattes sur son lit, la tête dans l’oreiller, tournée vers le mur, vêtue seulement d’un de ses monstrueux soutiens-gorge. Sa main, passée entre ses jambes, s’active dans un clapotement sur son sexe que je ne peux pas distinguer d’où je suis (il est masqué par sa cuisse). La poitrine, écrasée sur le matelas, déborde de tous les côtés, à peine retenue par le soutif qui semble à deux doigts de claquer. La tête dans l’oreiller, elle ne peut pas me voir et j’en profite pour ouvrir la porte un peu plus grand. Je reste quelques minutes à regarder, fasciné puis, sentant la fin de son activité approcher, je m’éclipse dans le couloir. Hélas, perdu dans des pensées des plus lubriques, j’ai oublié que j’avais laissé mes chaussures et bute dedans en m’approchant de l’escalier dans un raffut de tous les diables. Paniqué, je descends au salon. À peine une minute plus tard, j’entends le pas lourd ...
... d’Audrey dans l’escalier et elle entre dans le salon en peignoir. C’est en rougissant que je sors un truc parfaitement débile : — Euh, pardon, je cherchais Véro…— Elle vient de sortir faire des courses.— Ah… Là, je ne sais vraiment plus quoi dire. Je vois sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration rapide. Elle s’approche : — Touche-les, si tu veux. Je reste bouche bée. J’ai dû rêver. Mais Audrey semble être dans un état second, et elle s’approche encore plus près. Je peux sentir son souffle saccadé. Elle prend alors mes mains et les pose sur ses seins. Je peux sentir les masses mouvantes à travers le satin du peignoir. Je lâche alors prise et me mets à les palper furieusement. Ils sont souples, chauds et… immenses. Je me calme un peu et mes caresses se font plus douces. Je glisse une main à travers l’échancrure du peignoir et le contact direct avec sa peau m’électrise. Je me baisse alors et embrasse Audrey à pleine bouche sans lâcher les masses de ses seins. Je m’écarte un peu et fais glisser le peignoir à ses pieds, découvrant son corps nu. La chair noire est partout : ventre rond, seins ronds, cuisses rondes… Et une belle toison noire, fournie, au milieu. Je l’assois à côté de moi et commence à caresser la cousine de ma femme. Elle ne reste pas longtemps insensible et m’ôte fébrilement mon T-shirt et mon short puis baisse mon caleçon sur mes chevilles, libérant mon sexe déjà dur depuis un bon moment. Nous ne parlons pas. Je glisse ma main droite entre ses cuisses ...