1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (35)


    Datte: 03/03/2021, Catégories: Transexuels

    ... dans mes aventures sexuelles, ce vide est comblé, au propre comme au figuré. Elle y va fort. Le gode qu’elle a de fiché dans sa chatte doit lui faire de l’effet. Ses yeux se révulsent, elle transpire. Je crois que les draps seront bons à être changés tant je sue et mon sexe, tendu comme un arc, émet son jus pré-éjaculatoire. J’en ramasse et lui donne à lécher. Elle ferme les yeux, je ne l’en blâme pas. On va atteindre l’extase ensemble. — OH OUI, QUE C’EST BION DE T’ENCULER... PRENDS CA... OUIIIIII... — OUI, DONNE-MOI TOUT, VAS-Y FORT... C’EST TROP BON.... Elle s’écroule sur moi, éreintée. Je la bascule et me positionne à quatre pattes, face au miroir. Elle comprend vite ce que j’attends d’elle. Elle est noyée, mais se résout à se mettre à genou derrière moi. Je la regarde dans le miroir. Je lui souris, elle me sourit. Elle me saisit par les hanches et me pénètre d’un coup. La violence qu’elle y met m’étonne. Elle se régale à me voir jouir sous ses coups de bite. Elle râle de bonheur, je couine d’extase. Mon jus sort de ma bite tendue à son extrême. Elle est parallèle au sol. Dans un dernier cri, j’expulse ma semence, les premiers jets atterrissent sur le miroir. Elle est surprise de me voir le lécher. — Hummm... Ça serait con de gâcher. Surprise, mais pas dégoûtée, elle se déboîte, enlève son harnais et vient ramasser ce qui est au sol. Je lui dis qu’elle n’est qu’une grosse truie, elle me répond que je suis une grosse chienne. Une grosse vilaine chienne. Je lui saute ...
    ... dessus et nous nous embrassons, nous roulons sur la moquette, heureux de notre fait accomplit. Je la cajole, elle me repousse. — Mais tu bandes encore ? Je ne lui réponds rien. Je continue notre lutte amoureuse. Elle ne dit rien quand elle abdique, les bras et jambes écartés. Je me lève tant bien que mal et file prendre une douche. Elle me suit. — La vache, ce que tu m’as mis. Dit-elle en nettoyant le gode. — Tu veux bien m’aider ? En lui donnant le plug. Une fois sécher, je m’installe devant la coiffeuse et me maquille. Je lui demande si elle veut en faire autant. Sa réponse est étonnante. Elle veut bien si c’est moi qui la maquille. — Ok, viens t’asseoir. Je la maquille sobrement. Classe et discret, elle est belle ma petite Peggy, oui je sais, c’est con, mais c’est à cette petite truie du Muppet’s show qu’elle me fait penser. Je la prends à deux mains et l’embrasse tendrement. En rangeant le godemiché, je fais tomber un sac contenant collier et bracelets. Elle se baisse et inspecte ses objets sous toutes les coutures. — Je peux ? — Quoi, tu ne veux tout de même pas devenir esclave ? — Ça m’attire, je regardais des films pornos chez mes parents et ceux qui me faisaient le plus d’effets étaient ceux où les nanas étaient attachées et données en pâture à des mâles en rut... — C’est du propre. Et le fouet, tant que t’y es... — Je préfère le martinet. J’ai eu un petit copain qui m’en donnait sur les fesses et sur les seins... — Et t’aimais ? — Je mouillais comme une folle. Ensuite il ...
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